Archives Mensuelles: juin 2011
Mylène Paquette à l’assaut du grand fleuve Saint-Laurent… à la rame.
Le Saint-Laurent à la rame, de la ville à l’océan.
Mylène a quitté le Vieux Port de Montréal, hier le 25 juin 2011. Elle largue les amarres et la voilà prête à entamer son périple fluvial vers les Iles de la Madeleine.
La rameuse d’océan et ambassadrice du Saint-Laurent pour la Fondation David Suzuki débute ainsi le premier volet du projet Odycéan, soit, la traversée de l’Atlantique Nord à la rame, en solo et sans assistance. Un des objectifs est de sensibiliser le public aux impacts de l’activité humaine sur les écosystèmes marins.
Une étape importante car elle constitue à la fois un entraînement et un test pour son bateau et son équipement en vue de réussir sa traversée de l’Atlantique Nord en 2012, une première en Amérique. « Ca va mettre à l’épreuve ma préparation physique et mentale. Mon gros défi n’est pas tant de me mesurer au fleuve mais bien de composer avec ma solitude » déclare-t-elle.
De Montréal aux Iles de la Madeleine, en passant par Contrecoeur et Sorel-Tracy, Mylène Paquette prévoit s’arrêter dans plus d’une trentaine de villes en bordure du fleuve Saint-Laurent où elle participera à des événements locaux et donnera des conférences sur son expérience en mer hors du commun, car elle compte déjà une traversée à son actif. En janvier 2010, elle quittait le Maroc pour rejoindre, deux mois plus tard, la Barbade dans une embarcation è rame avec cinq co-équipiers. Cette été, venez rencontrer Mylène et ce, où que vous soyez . Venez l’encourager à chacune des ses haltes que vous pouvez suivre sur son blogue, Facebook et twitter.
Vous voulez en savoir plus sur Mylène et où elle se trouve en ce moment :http://www.mylenepaquette.com/calendrier/
Jean Claude Duclos (AJIQ)
J’ai assisté au départ de Mylène et je vous présente quelques photos de cet événement sur le diaporama suivant :
THÉÂTRE DE LA DAME DE CŒUR
PRODUCTION ESTIVALE 2011
LA MONTAGNE QUI MARCHE
Montréal, le lundi 20 juin 2011 – De plus en plus sollicité sur la scène internationale, le Théâtre de la Dame de Cœur est reconnu pour ses spectacles à grand déploiement. Cette année, il propose pour sa saison estivale La Montagne qui marche, une production unique où l’émerveillement se conjugue avec la mythologie et le monde contemporain. Les représentations auront lieu du 29 juin au 27 août 2011 sur le site enchanteur du Domaine de la Dame de Cœur situé au 611, Rang de la carrière à Upton en Montérégie.
Un spectacle envoûtant pour GRANDS et PETITS
Conçu pour toute la famille, le spectacle La Montagne qui marche raconte l’histoire surprenante d’une gigantesque tortue âgée de 12 000 ans, et de sa petite-fille venues d’Orient obligées de braver l’univers inquiétant d’un village minier. Dans cette fable, des personnages aussi cocasses que mystérieux se côtoient. Il y a Max, l’enfant dont la mère est prisonnière dans la mine et Ming Yue, jeune orientale qui affirme que la tortue est sa grand-mère… En alternance : affrontements et cocasseries nous mèneront à un riche dénouement. Pendant plus d’une heure et demie, les spectateurs, grands et petits, sont transportés dans cet univers fantastique, chargé d’émotions et d’humour. Une expérience culturelle exceptionnelle pour la famille qui rêve de plonger joyeusement au coeur d’une histoire au contenu original. Installé confortablement sur votre banc pivotant avec bretelle chauffante, vous suivez l’action sur 300 degrés, beau temps mauvais temps grâce à notre immense toiture.
Une équipe de choix
Le scénario de cette œuvre innovatrice est signé par Richard Blackburn, Yves Simard et René Charbonneau et les dialogues sont de Marilyn Perreault. La conception visuelle des marionnettes et des décors sont de Bénédicte Parmentier, la conception et la production des mécanismes des marionnettes sont d’Alain Gauthier et Jacques Jolicoeur, le multimédia de Myotte Bellamy Productions. La chef d’atelier Geneviève Laroche et le directeur de production, René Charbonneau ont orchestré avec brio l’ensemble des réalisations.
La musique originale et la bande sonore sont d’Alain Blais et les éclairages de Michel St-Amand. La mise en scène a été confiée à Richard Blackburn.
Découverte des marionnettes géantes
Tous les soirs, du mercredi au dimanche, avant chacune des représentations de La Montagne qui marche, le Centre d’interprétation des Marionnettes Baroques Desjardins accueille les visiteurs qui souhaitent percer le mystère de ces grands personnages. Le Théâtre de la Dame de Cœur vous invite à voir, ou à revoir, les marionnettes géantes qui ont servi aux productions antérieures et à découvrir en exclusivité sur grand écran des images de différentes productions. Dix minutes plus tard, plusieurs enfants pourront s’amuser avec de grandes marionnettes. Bref une «animation-combo» de 20 minutes présentée en boucle avant le début du spectacle.
Un site enchanteur pour y passer la journée
Le Théâtre de la Dame de Cœur est situé à Upton sur un magnifique domaine de 17 hectares bordant deux rivières, au cœur de la campagne montérégienne. Il est possible de pique-niquer sur ce site superbe ou encore, de profiter des forfaits souper-théâtre offerts au Vieux Moulin. Reconnu pour sa table savoureuse, accessible et sa terrasse face à la rivière, le restaurant propose une cuisine qui met à l’honneur les produits du terroir et les arrivages de saison.
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Source : Le Théâtre de la Dame de Coeur
tdc@damedecoeur.com
Voyage FADOQ
- Pittsburgh express et les vignobles des Finger Lakes
19-23 juin 2011 - Villages frontalier
13 aout 2011 - Le festival Western de St-Tite
17 septembre 2011 - Le train touristique et Manoir Richelieu
28-29 septembre 2011 - Paris et France de l’ouest
3-16 octobre 2011 - Chanteur de charme
29 octobre 2011 - Hommage aux soirées canadiennes
3 décembre 2011
Mardi 21 juin de 9 h 30 à 13 h 30 : Jour national des peuples autochtones. Venez marcher, vivre un échange culturel et pique niquer avec vos concitoyens autochtones. Cette journée aura pour thème la préservation de notre forêt boréale et mettra de l’avant le respect des ressources précieuses de notre territoire. Soutenez l’environnement et venez rencontrer des personnes comme vous au Jardin des Premières-Nations du Jardin botanique, le coût est gratuit.
Mardi 12 juillet de 10 h à 14 h : Rendez-vous des marcheurs au cimetière du Mont-Royal. Le cimetière Mont-Royal est considéré comme l’un des plus beaux en Amérique du Nord. Aménagé au cœur de la montagne, nous y retrouvons des sentiers bordés de boisés naturels et d’îlots fleuris. Plus qu’un cimetière, il est devenu un refuge naturel pour environ 150 espèces d’oiseaux attirés par les nombreux arbres fruitiers. Ce rendez-vous des marcheurs sera l’occasion, grâce à un guide spécialisé, de découvrir cet endroit ainsi que l’histoire d’illustres personnages qui y sont enterrés. Vous pourrez ensuite profiter des bords du Lac aux Castors pour pique niquer sous le soleil de juillet, l’activité est gratuite, n’oubliez pas votre lunch.
Mercredi 13 juillet et mercredi 3 août de 10 h 15 à 11 h 45: Club des « tricoteux ». Le projet couvertures de laine pour sans-abri mené par la bibliothèque Rosemont est un rendez-vous fort apprécié. Le succès de ces rencontres est tel que nous avons décidé de s’y joindre pour l’été. Afin de profiter des doux rayons estivaux, nous tricoterons et crochèterons en plein air, sous la tente. Deux rencontres gratuites sont prévues, apportez votre laine, vos aiguilles et bienvenue à tous!
Important : Prenez note que dû aux conflits à Postes Canada, il est possible qu’il y ait un léger retard de livraison du Bulletin de liaison Été 2011 ensaché avec la revue Virage. Sur le site Internet www.carrefour50ans.com il est possible de consulter la programmation de l’été.
Sondage : AG Adrien Gagnon lancera en 2012 un nouveau produit naturel pour soulager les articulations. Ce produit sera utilisé davantage par les gens de 40 ans et plus. Notre partenaire nous a demandé de soumettre ce petit questionnaire aux membres du Réseau FADOQ – Région île de Montréal pour les aider à trouver un mon au nouveau produit. Vous pouvez répondre au questionnaire plus bas en écrivant directement à l’adresse suivante : d.martel@santenaturelle.ca
Chaque répondant doit inscrire 6 chiffres. Le chiffre 1 représente le nom du produit qu’il préfère le plus et le 6, celui qu’il aime le moins
Voici les 6 choix :
A BioFlex
B Flexibili-T
C Flex 360
D Flex & Go
E Maxi-Flex
F Re-Flex
L’Enquête nationale auprès des ménages : une première !
Les activités du recensement sont bien entamées et la majorité des citoyens ont déjà complété leur formulaire.
Pour la première fois cette année, en concomitance avec le Recensement de 2011, Statistique Canada mène une nouvelle enquête d’envergure. En effet, un ménage sur trois sera invité à participer à la nouvelle Enquête nationale auprès des ménages (ENM).
Pour ceux qui n’ont pas déjà répondu en ligne, les questionnaires de l’ENM seront livrés au début du mois de juin. Les renseignements recueillis dans l’ENM fourniront des données pour planifier et appuyer les services destinés aux familles, le logement, les routes ainsi que la formation professionnelle et sont importantes afin de brosser un tableau détaillé et complet de votre communauté.
Pour que la diffusion des données à des fins de planification et de prise de décision future soit possible, il est important que tous les résidents qui reçoivent le questionnaire de l’ENM y répondent.
Comme pour le recensement, une série de rappels de même que des suivis sur le terrain seront effectués auprès des ménages qui n’auront pas complété leur questionnaire.
Pour obtenir plus d’information, consultez le site http://www.enm.statcan.gc.ca ou communiquez au 1-877-308-2777
Réseau FADOQ – Région Île de Montréal | 7378, rue Lajeunesse, bureau 215, Montréal (Québec) H2R 2H8 | 514 271-1411
info@fadoqmtl.org | www.carrefour50ans.com
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Anabelle Nicoud La Presse |
C’est une première à Montréal, et au Canada: un refuge d’abri et de soutien pour les aînés maltraités vient de voir le jour dans le Centre-Ouest. «Le besoin est là», estime la chargée de projet pour SAVA Centre-Ouest, Thurza Dufresne.
«On voit de plus en plus d’aînés abusés par leur famille pour des raisons financières. Souvent malheureusement, ils refusent de dénoncer. C’est l’enfer, les cas qu’on entend», estime Thurza Dufresne.
C’est en 2007 que la Table des aînés de Montréal Centre-Ouest, le centre de santé et de services sociaux Cavendish (CSSS), le centre Cummings pour aînés et la Table de concertation des aînés de Montréal ont identifié le besoin pour un centre de ce genre. Le SAVA Centre-Ouest a vu le jour grâce à la Fondation Bien-Vieillir et à la contribution de la Conférence régionale des élus de Montréal.
«C’est une première comme telle dans la ville de Montréal, mais aussi au Canada», dit Mme Dufresne. Le principe du SAVA Centre-Ouest rappelle celui des refuges pour femmes battues: les personnes victimes de violences domestiques peuvent demander un abri, mais aussi de l’aide afin de changer les choses. «Le but, c’est de travailler pour prendre des démarches de changement dans la vie. On a du soutien psychologique, et tout se fait avec le consentement des personnes. Elles décident s’ils veulent trouver un logement ou retourner à la maison», dit-elle.
Le refuge a ouvert ses portes en janvier dernier, avec deux appartements pour des aînés en difficulté qui ont vite trouvé preneur. L’un d’entre eux est un logement temporaire, pour une dizaine de jours, Deux personnes âgées, victimes des violences ou séquestrations de leurs familles, ont pu s’y réfugier. L’une d’entre elles a trouvé un nouveau toit grâce au centre. «Cette dame est maintenant changée. Elle est beaucoup plus calme, mais ça prend toute une équipe pour changer ça», estime Mme Dufresne.
Fort de ce succès, le SAVA Centre-Ouest espère ouvrir plusieurs centres à Montréal, mais aussi dans sa banlieue. «On aimerait avoir une expansion, on peut aller n’importe où», dit Mme Dufresne. Le centre est ouvert aux personnes âgées de 60 ans et plus, mais, souligne Mme Dufresne, le but est de ne refuser personnes. Les aînés en difficulté peuvent aussi se tourner vers le SAVA Centre-Ouest pour trouver une solution à leurs problèmes.
Maltraitance envers les aînés
À Montréal, le 14 juin 2011, les médias étaient convoqués pour une conférence de presse par la Ministre Marguerite Blais pour réitérer le bien fondé de l’action gouvernementale en matière de lutte contre la maltraitance envers les aînés et ce pour 2010-2015.
À cette occasion, la ministre Blais était accompagnée d’un panel qui était constitué de Mme Francine Dupuis, directrice générale du centre de santé et de services sociaux Cavendish, de Mme Louise Belzile, coordonatrice de la Chaire de recherche sur la maltraitance envers les personnes aînées, et de M. Claude Boies, directeur de la protection et de la défense des droits de la personne et des droits de la jeunesse ainsi que M. Claude Quintin, président de la Conférence des Tables de concertations des aînés du Québec. Ces partenaires sont venus témoigner des retombées positives des actions majeures mises en place à ce jour
« Un an après le lancement après le lancement du plan d’action, nous constatons que la population et convaincue de la nécessité d’agir pour contrer la maltraitance, De plus, les organismes travaillant auprès des aînés dans toutes les régions souhaitent s’investit davantage dans cette noble cause. Nous continuerons à agir ensemble dans les années à venir pour créer au Québec des environnements toujours plus sains et exempts de maltraitance, pour le mieux-être de nos aînés », a mentionné la ministre Blais.
Suite à la campagne de diffusion d’une campagne de sensibilisation avec Yvon Deschamps et de Bill Haugland, celle-ci a connu un succès retentissant : 96% des personnes sondées au téléphone ont montré une juste compréhension du message diffusé et, bien qu’il s’agisse d’un sujet délicat, 98% ont dit s’être fait convaincre de l’importance d’en parler.
Une ligne Aide Abus Aînés est accessible depuis le 1eroctobre 2010 au 1-888-489-ABUS (2287 et ce, sans frais partout au Québec.
La Chaire de recherche sur la maltraitance envers les aînés a commencé ses travaux en décembre dernier au Centre de recherche sur le vieillissement de l’Université de Sherbrooke. Cette Chaire, dont la titulaire est la chercheure Marie Beaulieu, est la première au monde à porter spécifiquement sur ce thème encore peu documenté.
Des coordonnateurs spécialisés en matière de maltraitance sont en place dans toutes les régions et ils ont comme mandat de dresser un portrait des services offerts et des ressources disponibles sur leur territoire afin d’assurer une efficacité accrue des actions entreprises dans chaque région pour contrer la maltraitance envers les aînés.
« Ce plan d’action représente un actif important dans notre objectif d’assurer un vieillissement actif pour tous les aînés du Québec, dans le milieu de leur choix. Beaucoup de mesures ont été mises en place en une seule année, de concert avec l’ensemble des partenaires, et nous nous engageons à poursuivre sur cette lancée », a conclu la ministre Blais.
Le plan d’action gouvernemental pour contrer la maltraitance envers les personnes aînés 2010-2015 peut-être consulté sur le site www.maltraitancesainés.gouv.qc.ca et sur celui du ministère de la famille et des Aînés, à l’adresse http://www.mfa.gouv.qc.ca
Jean Claude Duclos (AJIQ)
Le Marché d’été de Val-David.
Voici pour vous, chers lecteurs, un diaporama du Marché d’été de Val-David dans les Laurentides.
Val-David est situé tout près de Ste-Agathe-des-Monts.
Vous pourriez vous-même prendre vos photos les samedis de 9 à 13 heures, du 4 juin au 1 octobre.
Gilles Bossé. Chroniqueur au : www.universcitedesaines.wordpress.com
Pour visionner le diaporama, cliquez ici:
Une exposition du Centre d’histoire de Montréal
Quartiers disparus
Une exposition-documentaire du Centre d’histoire de Montréal
Du 15 juin 2011 au 25 mars 2012
Une ville n’est pas un objet figé, c’est un corps en perpétuel mouvement, en perpétuel changement.Cette évolution inéluctable s’est incarnée à Montréal dans la disparition de quartiers entiers entre 1950 et 1975, période de modernisation mondiale. Les raisons officielles des démolitions furent un manque de salubrité des logements existants et les besoins créés par de grands projets : l’Exposition universelle de 1967 et les Jeux olympiques de 1976. Montréal était à un moment charnière de son histoire !
La ville a alors réalisé un travail d’inventaire considérable des habitations ciblées, fournissant à la postérité des archives photographiques sur la vie de l’époque. Dans une volonté de ressusciter ces quartiers disparus, l’équipe du
Centre d’histoire de Montréal a réalisé un travail de collecte de mémoire auprès des habitants du Red Light, de Goose village et du Faubourg à m’lasse, mais aussi auprès des experts de la ville et des acteurs des démolitions. Dès les premières minutes d’exploration dans l’exposition, le visiteur est confronté à un constat troublant : des quartiers entiers ont été rasés. Ces lieux de vie communautaire prennent l’allure d’une ville bombardée. Il découvre ensuite les raisons de tout ce branle-bas. On veut résoudre les maux de la ville : éliminer les taudis et moderniser Montréal pour faire face aux défis du 20e siècle. Les urbanistes, architectes et ingénieurs, d’hier et d’aujourd’hui, témoignent de la nécessité d’une rénovation urbaine majeure qui se voulait une promesse de renouveau, l’espoir d’une cité radieuse où il ferait bon vivre. Puis le visiteur constate le travail d’inventaire réalisé par les fonctionnaires de la Ville de Montréal : les milliers de résidences à démolir ont été systématiquement photographiées et numérotées. Témoins de cette époque, des Montréalais d’aujourd’hui font découvrir leur quartier d’alors. Le Red Light, Goose Village et le Faubourg à m’lasse renaissent dans des espaces qui plongent le visiteur dans des milieux de vie, aujourd’hui disparus ! Le parcours se termine par un espace qui interroge le visiteur sur son rôle de citoyen : capacité de mobilisation, de réflexion et sa vision de la ville du futur. Des visites de presse, des entrevues avec les concepteurs de l’exposition, ainsi que des documents visuels et audiovisuels sont disponibles sur demande.
« […] un centre-ville hérissé d’immeubles de rapport et d’hôtels, ces derniers si neufs d’aspect qu’on les eût cru sortis de leurs caisses la nuit précédente. La Place Ville-Marie. Le métro. L’île Notre-Dame. Habitat [67]. La Place des Arts. Cette corne d’abondance ne pouvait être la ville où j’avais grandi et que j’avais désertée ».
Mordecai Richler, The Street, Toronto, McClelland & Stewart, 1969, p.5. dans André Lortie, Montréal 1960, les resorts d’une réidentification.
«Ma récompense, c’est d’avoir largement contribué à transformer la ville que déjà nous aimions en ville que nous aimons encore plus ».
Discours de démission de Jean Drapeau, dans Benoît
Gignac, Le Maire qui rêvait sa ville, Montréal,
Éditions La Presse, p.246.
En juin, Les Impatients prennent l’air
dans le cadre du Circuit des arts de la Promenade Wellington
Vernissage : 3 juin 2011 à 13 h au Centre Wellington
Montréal, le mardi 31 mai 2011 – Au mois de juin, Les Impatients du Centre Wellington rayonnent! Leur expo-vente L’Art prend l’air présente et vend (40 $) une quarantaine d’œuvres originales, produites dans nos ateliers de Verdun sous l’accompagnement d’artistes professionnelles. Un travail inspiré et haut en couleur qui fait « prendre de l’air » aux conventions artistiques. L’événement aura lieu du 3 au 30 juin 2011, au Centre Wellington (4932 rue Wellinton, Verdun), dans le cadre du Circuit des arts.
Ce circuit, qui en est à sa première édition, réunira plus de 75 artistes de diverses disciplines et investira 24 lieux de la Promenade Wellington. En y participant, Les Impatients de Verdun, en plus de promouvoir leurs activités, confirment leur implication dans la vie artistique de la communauté. C’est aussi un moyen exceptionnel d’encourager sa clientèle à participer à la vie sociale de leur quartier, un des principaux objectifs du centre.
En effet, Le Centre Wellington est un lieu de réadaptation et de soutien communautaire qui promeut le bien-être et la réinsertion sociale des personnes aux prises avec des troubles mentaux graves et persistants par la formation, la tenue d’activités et l’accompagnement adapté. Plus que de 400 personnes en bénéficient de leurs services.
Depuis 2009, Les Impatients contribuent à cette ouverture sur le monde en y offrant des ateliers d’art. La mission des Impatients est de venir en aide aux personnes atteintes de problèmes de santé mentale par le biais de l’expression artistique.
Informations : 514 768-2668
