Hier, le 20 juin 2024, avait lieu l’Assemblée générale de Concertation Ville-Émard/St-Paul. Plusieurs membres des organismes communautaires locaux étaient présents à cet événement. Une fête champêtre a clôturé cette rencontre dans l’allégresse au chalet du Parc De La Vérendrye.
Exemples de manifestations: Pour votre information….Faire suivre si possible
Des institutions (réseau de la santé, organismes communautaires, ressources, etc.):
Imposer le rôle de personne proche aidante
Ne pas transmettre les informations nécessaires à l’accomplissement du rôle
Laisser la personne proche aidante se débrouiller seule dans un système complexe, en silo, etc.
Porter un jugement sur les émotions ou les façons de faire de la personne proche aidante
Nier l’expertise de la personne proche aidante auprès de la personne aidée
Démontrer de la tolérance ou de l’indifférence à l’égard de la maltraitance venant de la personne aidée ou de l’entourage, etc
Automaltraitance (de la personne proche aidante elle-même):
S’épuiser à assumer son rôle
Être exigeante envers elle-même
Se sentir coupable, incompétente ou avoir
Sentiment de ne jamais en faire assez
Mettre ses propres besoins à l’écart et prioriser ceux de la personne aidée, etc.
De l’entourage (relation familiale biologique ou non, relation d’amitié, etc.):
Imposer (obliger) le rôle d’aidant
Soutenir de façon insuffisante la personne proche aidante
Se désengager des soins envers la personne aidée
Être tolérant ou démontrer de l’indifférence face aux comportements maltraitants de la personne aidée
Tenir des propos violents ou intimidants
Contribuer à l’appauvrissement (laisser la personne proche aidante assumer des frais liés aux soins, etc.)
Ne pas reconnaître l’épuisement de la personne proche aidante
La bientraitance.
Comment faciliter la bientraitance des personnes proches aidantes dans nos organisations?
Reconnaître, identifier les personnes proches aidantes de mon organisation
Soutenir, outiller et accompagner les personnes proches aidantes dès le début de leur parcours
S’assurer du référencement des personnes proches aidantes vers les ressources dédiées de proximité
Aborder avec elles les conséquences à long terme et les risques liés à la proche aidance (isolement, épuisement et maltraitance)
Prendre le temps d’écouter et de valoriser leur expérience et leur expertise
Bientraitance envers les personnes proches aidantes
La bientraitance envers les personnes proches aidantes est une démarche d’accompagnement globale. Elle vise à promouvoir leur soutien, l’écoute de leurs besoins, et la valorisation de leur apport, de leur expérience et de leur expertise dans la vie quotidienne afin de prévenir la maltraitance.
Agir avec bientraitance ne prend pas plus de temps. Pensez-y!
Ce qui freine les personnes proches aidantes à parler de la maltraitance:
Méconnaissance de l’existence de la maltraitance envers les personnes proches aidantes
Normalisation des gestes et des paroles des personnes aidées (en raison de la maladie)
Manque d’information sur les services d’aide peu accessibles aux personnes proches aidantes
Peur de l’hébergement ou de la judiciarisation si la personne proche aidante en parle
Volonté de ne pas rompre les liens familiaux
Dynamique de violence qui perdure depuis longtemps
Cette semaine, il est question de la bientraitance.
Qu’est-ce que la bientraitance ?
Une définition révisée de la bientraitance. La bientraitance est une approche valorisant le respect de toute personne, de ses besoins, de ses demandes et de ses choix, y compris ses refus. Elle s’exprime par des attentions et des attitudes, un savoir-être et un savoir faire collaboratifs, respectueux des valeurs, de la culture, des croyances, du parcours de vie et des droits et libertés des personnes. Elle se construit par des interactions et une recherche continue d’adaptation à l’autre et à son environnement. Elle s’exerce par des individus, des organisations ou des collectivités qui, par leurs actions, placent le bienêtre des personnes au cœur de leurs préoccupations. Quelle distinction entre bienveillance et bientraitance? LA BIENVEILLANCE, qui est l’expression de l’attention, de la gentillesse, de l’empathie, de la sollicitude et de l’indulgence, repose sur le bien-être envers toute personne. LA BIENTRAITANCE partage les mêmes fondements que la bienveillance. Elle s’en distingue par la prise en compte du point de vue de la personne avant toute action. Lorsqu’il est impossible de recueillir son point de vue, peut alors être considéré celui qu’elle aurait précédemment exprimé (verbalement ou par écrit) ou celui d’un proche. À son opposée,, la MALTRAITANCE.
Source : Msss.gouv.qc.ca
Pour en savoir plus, suivez-nous et partagez les informations reçues ainsi, vous participez à la BIENTRAITANCE.
Qu’est-ce que le BookCrossing ? C’est un grand club de lecture traversant temps et espace, ne connaissant aucune limite géographique. Vous aimez les livres gratuits ? Et les clubs de lecture gratuits ? Les livres que nos membres libèrent dans la nature sont gratuits… mais c’est l’acte de libération des livres en soi qui est au cœur du BookCrossing. L’échange de livres n’a jamais été plus passionnant qu’avec le BookCrossing. Notre but, tout simplement, est de faire du monde une bibliothèque ! Le BookCrossing est un moyen d’échange des livres aux proportions infinies, le seul dans son genre.
Sur le site bookcrossing.com vous trouverez des dizaines de milliers de critiques de livres, de notations, de recommandations, car chaque fois qu’un livre change de mains nos membres ont la possibilité de laisser un commentaire afin de partager avec le monde leur opinion.
Mais allons droit au but. Vous connaissez cette sensation, après avoir lu un livre qui vous a parlé, qui vous a touché, la sensation que vous voulez le partager avec une autre personne ? Bookcrossing.com vous offre un moyen simple de partager vos livres avec le monde, et de suivre leur trace à jamais !
Les « 3 Règles » du BookCrossing…Lisez un bon livre (vous connaissez la marche à suivre)
Enregistrez le livre (avec vos commentaires) et obtenez un code BCID unique (BookCrossing ID), puis collez-lui une étiquette avec ce numéro
Relâchez le livre afin que quelqu’un le lise (donnez-le à un ami, laissez-le sur un banc public, dans un parc, faites-en don à une œuvre de bienfaisance, « oubliez-le » dans un café…), et soyez prévenus par e-mail chaque fois que quelqu’un vient ici enregistrer un commentaire sur ce livre ! Et si vous faites une Release Note (note de libération), d’autres pourront partir à sa recherche et tenter de le trouver.
Ça a l’air simple, n’est-ce pas ? Eh bien ça l’est ! Cela joue également sur votre destin, votre karma, appelez comme vous voulez cette succession d’événements qui peut se produire entre la vie et une œuvre littéraire. Oh, et il faut préciser, c’est complètement gratuit et totalement privé également.
Alors, attrapez donc un livre ou deux dans votre bibliothèque (ils ne servent à personne ici, n’est-ce pas ?), enregistrez-les ici, notez notre adresse internet ainsi que le code BCID que vous obtiendrez à l’intérieur, et ensuite donnez-les ou ‘abandonnez-les’ là où quelqu’un pourra les trouver.
Donc, le bookcrossing, ça consiste à remettre en circulation, gratuitement, le livre qu’on a lu et cela comme on veut. Libre ensuite à d’autres lecteurs de se l’approprier et de faire de même, après l’avoir lu.
FAIRE UNE ÉTIQUETTE ET COLLER SUR LA COUVERTURE DU LIVRE DONNÉ.
Je ne suis pasperdu!
S.V.P. Prenez-moi,Lisez-moi, et aidez-moi dans mon voyage.
Les produits naturels au Canada sont réglementés par Santé Canada. Les produits de santé naturels sont définis comme des produits fabriqués à partir de substances naturelles, telles que les plantes, les minéraux et les vitamines, qui sont utilisés pour maintenir ou améliorer la santé Santé Canada a mis en place des réglementations spécifiques, appelées Règlement sur les produits de santé naturels, pour garantir que ces produits sont bien préparés, sûrs à utiliser, efficaces et accompagnés d’instructions sur leur utilisation.
Il est important de noter que Santé Canada a développé ces réglementations pour s’assurer que les produits de santé naturels sont sûrs et de bonne qualité. Ils ont également mis en place un processus d’autorisation pour les produits de santé naturels, afin de s’assurer qu’ils répondent à des normes de qualité élevées. Plus de 43 000 produits de santé naturels ont été autorisés à la vente au Canada.
Les Canadiens utilisent de plus en plus de produits de santé naturels, et Santé Canada travaille à garantir que ces produits sont bien préparés, sûrs à utiliser, efficaces et accompagnés d’instructions sur leur utilisation Santé Canada fournit également des informations au public sur les produits de santé naturels, y compris des réponses aux questions fréquemment posées.
Il est important de noter que les produits de santé naturels ne sont pas des médicaments sur ordonnance et sont réglementés différemment. Ils sont régis par un cadre réglementaire distinct des médicaments sur ordonnance.
En conclusion, les produits de santé naturels au Canada sont réglementés par Santé Canada pour garantir leur sécurité, leur efficacité et leur qualité. Santé Canada fournit des informations et des réglementations sur les produits de santé naturels, et plus de 43 000 produits ont été autorisés à la vente au Canada
Ce que l »on disait au début des années 2000. Il est toujours bon de sa le rappeler.
Voici un premier article sur notre site concernant les aînés. C’est le fruit d’extraits d’un bulletin publié quatre fois par année qui est le résultat de recherches fait sur certains points concernant la santé de nos aînés.
Ce bulletin, Expression, est publié par le Conseil Consultatif national sur le troisième âge.
Ce dernier est constitué d’au plus 18 membres venant de partout au Canada. Les membres apportent au Conseil diverses compétences pour conseiller le ministre fédéral de la Santé, ses collègues et le public sur la situation des aînés et les mesures requises pour répondre au vieillissement de la population canadienne.
Le signataire de cet article est membre représentant le Québec à ce Conseil ainsi qu’une autre collègue Mme Yvette Sentenne du Québec.
J’ai choisi comme thème de cet article un sujet d’actualité et ce sont les produits naturels dans les pharmacies et autres.
Le nombre croissant de produits pharmaceutiques dans les magasins, les pharmacies, les supermarchés et les boutiques spécialisées est devenu des sources d’approvisionnement
En vitamines et suppléments minéraux, en produit à base d’herbes médicinales, en préparations traditionnelles chinoises, homéopathiques ou autres.
Dans le but de faire les bons choix-santé, la capacité de se documenter est un facteur déterminant qui, toutefois, doit être soutenu par de l’information précise, fiable et accessible. Nous constatons ici plusieurs problèmes :
Manque de connaissances- Un sondage effectué au cours des six premiers mois de l’année 2000 a révélé que 24% des répondants avaient consommé un produit de santé naturel plutôt que de consulter un médecin pour obtenir une prescription et 8% des utilisateurs ont remplacé une prescription du médecin par des produits de santé naturels. Bon nombre de gens croient que ¨naturel¨est synonyme de ¨sécuritaire¨, ce qui n’est pas toujours le cas. Les consommateurs courent un risque en prenant un produit naturel sans savoir si l’un de ses ingrédients actifs peut interagir avec un médicament prescrit ou un aliment.
Information erronée- Un bon nombre d’employés peuvent donner des conseils qui peuvent se révéler inefficace ou même dangereux dans certaines circonstances.
Manque de réglementation- Peu de produits ¨naturels¨ont fait l’objet d’essais complets et critiques. On dispose de peu de preuve de leur efficacité ou de leur sûreté. L’étiquetage n’est pas réglementé et il est impossible de savoir ce que contient le produit.
Santé Canada a mis sur pied en 1999 la Direction des produits de santé naturels pour le marché canadien. Le ministère adoptera sous peu un cadre de réglementation pour la fabrication et la vente de produits naturels, y compris des remèdes.
Mamie, pourquoi tu mets du savon dans l’eau avant de laver le linge? Oui, toute une question. C’est ce qui m’a donné à réfléchir sur la question et ensuite entreprendre une recherche sur l’obligation d’ajouter du savon à l’eau pour rendre son linge propre. Alors, oui, il est recommandé d’utiliser du savon pour faire la lessive. Le savon est un ingrédient essentiel dans de nombreuses recettes de lessive maison. Le savon est souvent utilisé dans les recettes de lessive maison en raison de ses propriétés nettoyantes de sa composition le plus naturelle possible1.
Pour un meilleur résultat le savon devrait être est composé d’huiles végétales et ne contient pas de produits chimiques nocifs comme par exemple le savon de Marseille car celui-ci est considéré comme une alternative plus écologique et plus douce pour la peau par rapport aux détergents commerciaux Mais, il est important de choisir un savon qui peut être utilisé pour faire une lessive maison qui n’encrasse pas la machine à laver.
En résumé, l’utilisation de savon dans la lessive est recommandée car il est efficace pour nettoyer les vêtements
La pratique du droit municipal permet d’apprendre sur des sujets extrêmement variés. Parmi ceux-ci, l’élevage de pigeons voyageurs pour fins de courses a retenu l’attention de la cour municipale de Longueuil dans un jugement récent, qui réitère le principe bien connu selon lequel une municipalité peut réglementer les nuisances, mais ne peut pas en créer.
Monsieur Antanassov a reçu une série de constats d’infraction pour avoir gardé des pigeons voyageurs dans les colombiers situés à l’arrière de sa résidence, dans l’arrondissement Saint-Hubert. Si les faits sont admis, monsieur Antanassov demande que lui soient déclarée inopposable la disposition du Règlement CO-2008-523 sur le contrôle des animaux qui prohibe la garde de pigeons, en vertu de la compétence municipale de règlementer les nuisances.
La poursuivante, quant à elle, soutient que son règlement prohibe en soi la garde de tous types de pigeons et qu’elle n’a pas à faire la preuve d’inconvénients causés par ceux du défendeur.
L’élevage de pigeons voyageurs pour fins de courses
Pour expliquer au Tribunal l’activité d’élevage qu’il pratique, le défendeur fait entendre un expert, un ingénieur qui pratique l’élevage de pigeons-voyageurs comme passe-temps depuis 64 ans et qui a fondé la Fédération colombophile du Québec :
[24] Selon l’expert, cette activité est pratiquée partout à travers le monde et les préjugés entretenus par la population sur la présence de pigeons voyageurs à proximité de leur résidence viennent de ce que l’on confond les pigeons voyageurs avec les pigeons « de rue ». Les premiers sont prisonniers et contrôlés par leur propriétaire alors que les autres sont totalement libres.
[25] Une formation est donnée aux colombophiles afin de les instruire des règles de l’art en ce domaine, et ce dans le respect du voisinage.
[26] Malgré leur nom, ces pigeons sont plutôt sédentaires. Ils passent pratiquement tout leur temps à l’intérieur de leur colombier (21h/jour). Ils ne sortent que pour des exercices d’entrainement qui consiste à les faire voler autour de leur port d’attache pendant une quinzaine de minutes et d’y revenir sans se poser nulle part.
[27] Le pigeon qui ne respecte pas cette pratique ne peut être conservé par l’éleveur puisqu’un tel comportement anéantirait ses chances de gagner les courses auquel il a inscrit ce pigeon.
[28] Les concours donnent lieu à un important périple. Au moment du grand jour, les éleveurs mettent leurs pigeons dans des paniers et les transportent en véhicule jusqu’en des lieux très éloignés de leur port d’attache (on a parlé de 300 à 600km).
Je suis de retour avec vous afin de compléter mon implication sur l’information recueillie un peu partout concernant les aînés. Bonne lecture. N.B. Je vous conseille fortement de consulter les articles antérieurs en défilant vers le bas.
Devenez « Citoyens Radar ». Surveillez votre entourage ou près de votre résidence afin de déceler les besoins de personnes aînées qui auraient besoin de soutient pour faciliter leur journalier. Il suffit de contacter la responsable, Karine, de RADAR du « Services bénévoles aux aînés » (SBA) afin de l’informer de la situation au: 438-519-2119
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Les bienfaits de l’huile d’olives extra-vierge pour notre santé
RICHARD BÉLIVEAU
Dimanche, 30 juillet 2023 20:06
MISE À JOUR Dimanche, 30 juillet 2023 20:06
Une étude clinique montre que le simple fait d’utiliser l’huile d’olive extra-vierge comme corps gras principal diminue l’inflammation et le stress oxydatif, deux facteurs de risque de plusieurs maladies chroniques.
La recherche des dernières années a clairement montré que l’inflammation chronique joue un rôle très important dans le développement des principales maladies chroniques qui touchent la population, qu’il s’agisse des maladies cardiovasculaires, du diabète de type 2, des démences ou du cancer.
Dans la plupart des cas, ce climat inflammatoire est une conséquence de certains facteurs associés au mode de vie qui perturbent l’équilibre physiologique du corps et créent des conditions favorables à la production de molécules inflammatoires par certaines classes de cellules immunitaires.
Le surpoids, la sédentarité et la mauvaise alimentation sont des conditions très répandues qui contribuent à la création de cet environnement inflammatoire.
Réduire l’inflammation chronique par la modification de ces habitudes de vie représente donc une approche très prometteuse pour diminuer le risque de l’ensemble des maladies chroniques.
Huile d’olive anti-inflammatoire
Plusieurs études ont montré que l’adoption du régime méditerranéen pourrait représenter une approche valable pour réduire l’inflammation chronique.
Cette alimentation millénaire préconise un apport abondant en fruits, légumes, légumineuses, noix et grains entiers, qui sont tous des aliments riches en fibres et en composés phytochimiques qui possèdent des propriétés antioxydantes et anti-inflammatoires.
Une autre caractéristique fondamentale du régime méditerranéen est l’utilisation abondante d’huile d’olive extra-vierge comme corps gras principal. Cette huile se distingue des autres huiles végétales par la présence de certains polyphénols dotés de propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes, notamment l’oléocanthal et l’oléacéine.
Ces deux molécules sont conservées lors de l’extraction des olives par pressage à froid et sont présentes à des concentrations 10 fois plus élevées dans l’huile d’olive extra-vierge comparativement à l’huile d’olive standard, produite par raffinage industriel (solvants, haute température).
La consommation régulière d’huile d’olive extra-vierge est donc associée à un apport élevé de ces molécules anti-inflammatoires, avec une activité équivalente à celui de 10 mg d’ibuprofène1.
Réduction de l’inflammation
Une étude clinique récente vient de confirmer ces bénéfices de l’huile d’olive extra-vierge sur l’inflammation chronique2.
Dans cette étude randomisée, des participants souffrant d’obésité (IMC 30-40) et de prédiabète ont été divisés en deux groupes : 1) un groupe qui utilisait exclusivement l’huile d’olive extra-vierge comme source de gras (groupe EV), et 2) un groupe qui utilisait de l’huile d’olive commune, contenant beaucoup moins de polyphénols (groupe OC).
Après un mois, les rôles ont été inversés et chacun des participants a reçu l’autre type d’huile d’olive.
Même si l’intervention était de seulement 30 jours, les résultats obtenus sont très clairs : les chercheurs ont observé que, comparativement au groupe OC, le traitement EV provoquait une baisse significative d’une importante cytokine pro-inflammatoire (interféron gamma) et augmentait en parallèle l’activité antioxydante totale du sang (diminution de marqueurs du stress oxydatif).
Les participants EV ont également montré une baisse significative de poids (1 kg) ainsi qu’une amélioration de leur glycémie comparativement au groupe OC.
Il semble donc que les effets anti-inflammatoires et antioxydants plus prononcés associés à l’huile d’olive extra-vierge se traduisent concrètement par une amélioration rapide du métabolisme.
Cette étude montre que certains changements minimes à nos habitudes alimentaires, comme simplement utiliser de l’huile d’olive extra-vierge au lieu d’autres types d’huiles végétales, peuvent entraîner rapidement – en quelques semaines à peine – des effets positifs mesurables sur la santé.
♦ 1. Beauchamp GK et coll. Ibuprofen-like activity in extra-virgin olive oil. Nature 2005; 437 : 45-46.
♦ 2. Ruiz-García I et coll. Rich oleocanthal and oleacein extra virgin olive oil and inflammatory and antioxidant status in people with obesity and prediabetes. The APRIL study: A randomised, controlled crossover study. Clin. Nutr. 2023; 42: 1389-98.
Baignoires à porte : un risque pour la santé des soignants
Baignoires à porte : un risque pour la santé des soignants ?
Les baignoires à porte sont présentées comme une solution pratique pour les personnes âgées ou à mobilité réduite. Elles leur permettent de se laver sans enjamber le rebord ni s’asseoir au fond de la baignoire. Certaines personnes les choisissent pour leur domicile. Des résidences privées pour aînés optent aussi pour cet équipement. Cependant, est-ce aussi pratique et sécuritaire pour les soignants qui aident les personnes lors de soins d’hygiène ?
En contexte de soins à domicile, les soignants doivent composer avec l’environnement du client sans compromettre leur propre santé et sécurité. Il devient donc nécessaire d’évaluer si la baignoire à porte permet au soignant d’offrir de l’aide à l’hygiène tout en conservant une posture sécuritaire. Survolons les caractéristiques de cet équipement pour ensuite analyser les postures du soignant et proposer des pistes de solution.
Caractéristiques techniques Les baignoires à porte, également appelées baignoires adaptées, sont munies d’une porte étanche située sur le côté et qui peut être ouverte et fermée (figure 1). La hauteur du seuil de porte varie de 10 à 15 cm. Comme les baignoires traditionnelles, elles sont généralement installées le long d’un mur, donc accessibles seulement d’un côté. Les baignoires à porte sont habituellement munies d’une ou de plusieurs barres d’appui et d’un siège encastré. Elles peuvent pré sen ter certaines options, comme un système de jets ou un pommeau de douche avec un boyau. Une va riété de tailles et de styles est offerte sur le marché pour répondre aux be soins et aux préférences individuelles
Donner des soins dans une baignoire à porte
Lorsqu’un soignant prodigue des soins d’hygiène à une personne assise dans une baignoire à porte, il doit se pencher audessus du rebord dont la hauteur varie de 90 à 115 cm selon les modèles. Dans cette position, le soignant peut difficilement respecter les principes de la posture de base, c’estàdire garder le dos sans flexion et non voûté, la tête droite et les coudes près du corps. Certaines zones de la personne sont hors de la portée du soignant, comme le membre supérieur du côté opposé et le bas du corps. Notons que cette difficulté peut également survenir lors de soins d’hygiène dans une baignoire traditionnelle. Une stratégie pour contourner ce problème consiste à savonner ces parties du corps avant que la personne se tourne sur le banc de bain (figure 2). Cette solution peut être envisagée dans une baignoire à porte seulement si celleci dispose d’une porte à grande ouverture qui donne accès au siège par l’extérieur de la baignoire une fois la porte ouverte. Si la baignoire n’est pas munie de cette option. le soignant doit se pencher par l’ouverture de la porte pour atteindre le bas du corps de la personne, ce qui implique une posture contraignante pour lui (dos en flexion et en torsion, à bout de bras). D’autre part, aider une personne à se déplacer dans une baignoire à porte, tout en conservant une posture sécuritaire, devient difficile pour le soignant en raison du rebord élevé qui fait barrière entre les deux personnes. Plusieurs modèles de baignoires disposent de barres d’appui qui peuvent faciliter les déplacements de la personne. Toutefois, leur position est fixe, donc elles ne peuvent pas s’adapter aux besoins spécifiques de la personne et du soignant.
Évaluer la situation de travail. Avant de mettre en place un service de soins à domicile, il est essentiel d’évaluer si le soignant pourra travail ler de façon sécuritaire. Il faut considérer tous les éléments de la situation de travail : les capacités du client, l’envi ron nement, les équipements en place, la tâche, les caractéristiques du soignant (ex. : sa taille) ainsi que le temps disponible et requis (ex. : pour la vidange de l’eau). Le soignant doit également procéder à cette évaluation avant chaque soin. Avant de commencer la tâche, il doit répondre par l’affirmative à la question « Puisje procéder de façon sécuritaire, ici et maintenant ? ». Si la personne a besoin d’aide pour se laver (surtout le bas du corps) ou pour se déplacer dans la baignoire à porte et que le soignant ne peut pas procéder de manière sécuritaire, des solutions doivent être envisagées. Par exemple, l’hygiène de certaines parties du corps peut se faire à l’exté rieur de la baignoire, des barres d’ap pui peuvent être ajou tées, ou le soin peut s’effectuer autrement, comme dans une douche ou au lavabo. Si le soignant doit prêter assistance à une personne en utilisant une baignoire à porte, il doit pouvoir procéder sans adopter de postures contraignantes afin d’éviter les inconforts, la douleur, voire l’apparition de troubles musculosquelettiques. Lorsqu’ils sont adaptés à la situation de travail, les équipements peuvent améliorer la qualité des soins et contribuer à la santé et à la sécurité du travail. Pour ce faire, l’organisation devrait se doter de politiques et de procédures qui permettent de s’en assurer avant et pendant la prestation du service d’aide à domicile.
Eloïse Bergeron
N.B. Avant de mettre en place un service de soins à domicile, il est essentiel d’évaluer si le soignant pourra travailler de façon sécuritaire
OP VOL. 46 NO 2 2023
Les restos rapides, un luxe?
NICOLAS ST-PIERRE ( Journal de Montréal)
MISE À JOUR Samedi, 12 août 2023 12:33
Un repas sous-marin 12 pouces à 20$ ou un trio hamburger à 15$: manger dans les grandes chaînes de restauration rapide devient un luxe de moins en moins abordable pour les Québécois.
L’inflation, la pénurie de main-d’œuvre et l’augmentation du salaire minimum combinées à une pandémie mondiale auront eu pour effet de faire bondir la facture des Québécois au restaurant.
En juin, Statistique Canada dévoilait d’ailleurs que les prix des aliments achetés au restaurant ont bondi de 8,7% de mai 2022 à mai 2023.
«La malbouffe est rendue extrêmement plus chère qu’avant. C’est pratiquement un luxe d’aller dans un restaurant rapide contrairement à ce que ça a déjà été», souligne le directeur principal du Laboratoire de sciences analytiques en agroalimentaire à l’Université Dalhousie, Sylvain Charlebois.
Les amateurs de restauration rapide sont d’ailleurs nombreux depuis quelques semaines à critiquer sur les réseaux sociaux les récentes augmentations, notamment chez le géant des sous-marins Subway.
Rapide, mais à quel prix?
Le Journal s’est rendu cette semaine dans quatre des plus grandes enseignes de restauration rapide (Subway, McDonald’s, A&W et Tim Hortons) à Québec ainsi qu’à Trois-Rivières pour voir ce qu’il est possible de s’offrir avec 15$ en poche.
Le constat a été assez assez brutal chez Subway où le fameux slogan «12 pouces 5$» n’est plus qu’un lointain souvenir. Pour un trio classique incluant un 12 pouces steak fromage, une boisson en fontaine et un sac de croustilles, nous avons dû débourser un total de 19,94$, sans pourboire ni extra.
CRÉDIT : NICOLAS ST-PIERRE
Au McDonald’s, les McCroquettes ont là aussi grugé le portefeuille, alors qu’un trio 10 croquettes nous a coûté 16,20$ taxes incluses. Pour s’en tirer sous la barre des 15$, il faut donc se résigner à six.
CRÉDIT : NICOLAS ST-PIERRE
Pour un trio avec le fameux Mozza Burger du A&W, la facture a atteint 14,92$.
CRÉDIT : NICOLAS ST-PIERRE
Tim Hortons s’est finalement avéré être l’endroit le plus économique puisque qu’un trio Club à la Tim incluant sandwich, café glacé, quartiers de pommes de terre et un beigne en extra est revenu à 13,04$, toujours en incluant les taxes.
CRÉDIT : NICOLAS ST-PIERRE
L’inflation a le dos large
Les restaurateurs indépendants déplorent d’ailleurs que les géants de l’industrie profitent des contrecoups de l’inflation.
«Le pouvoir d’achat du consommateur diminue,donc les gens sont davantage prêts à se prendre un trio à 12-13$ plutôt qu’une assiette à 28$ dans un restaurant avec le service aux tables», souligne le vice-président aux affaires publiques et gouvernementales à l’Association Restauration Québec, Martin Vézina.
«Ce qui arrive, c’est que les grandes chaînes profitent d’un consommateur qui recherche des aubaines. […] Les gens seront donc moins portés à aller dans un restaurant avec service qui coûte plus cher. C’est là qu’on voit que l’inflation influence vraiment le comportement des consommateurs», ajoute Sylvain Charlebois.
L’inflation a le dos large d’une certaine manière, comme l’explique M. Charlebois, puisque les gros noms de la restauration rapide continuent d’engendrer des revenus faramineux pratiquement chaque trimestre.
«Ça coûte de plus en plus cher, mais quand on regarde les résultats financiers des grandes chaînes de restauration rapide, les choses vont quand même assez bien. Elles profitent vraiment de ce marché qui est beaucoup plus économe actuellement», a-t-il précisé.
VOICI LES RÉSULTATS DE L’EXPÉRIENCE DU JOURNAL:
Subway: 19,94$, taxes incluses, pour un 12 pouces steak fromage en trio incluant une boisson en fontaine et un sac de croustilles.
McDonald’s: 16,20$, taxes incluses, pour un 10 croquettes en trio incluant une portion moyenne de frites ainsi qu’une boisson en fontaine.
A&W: 14,92$, taxes incluses, pour un trio Mozza Burger en trio incluant une portion de frites et une root beer.
Tim Hortons: 13,04$, taxes incluses, pour un trio Club à la Tim incluant un café glacé, des quartiers de pommes de terre ainsi qu’un beigne en extra.
Les montants ci-dessus n’incluent pas le pourboire qui était en option dans certains de ces restaurants.
Concernant votre vision…
Vrai ou faux…. Concernant votre vision.
Provenant du Journal de Montreal
Vous avez probablement déjà entendu toutes sortes de conseils afin d’éviter d’endommager votre vision: ne lis pas dans le noir, ne lis pas de trop près, mange des carottes, mais lesquels sont exacts?
L’Organisation mondiale de la Santé estime que 80 % des déficiences visuelles peuvent être évitées ou guéries au moyen d’un traitement.
Aux États-Unis, 40% des adultes sont sujets à une régression de la vision. Au Canada, ces données sont similaires.
Selon Statistique Canada, 70% des jeunes entre 6 et 19 ans ont une vision considérée comme normale, tandis qu’un peu moins de la moitié des adultes âgés de 40 à 64 ans ont une vision dite normale.
Vrai ou faux?
Lire un livre ou regarder un écran de très près peut nuire à vos yeux
Vrai. Selon Dr Xiaoying Zhu, professeur clinicien agrégé d’optométrie et chercheur principal sur la myopie au SUNY College of Optometry à New York, les yeux ne sont pas faits pour exercer une mise au point de manière continue sur un objet proche du visage. Cette habitude peut engendrer l’allongement du globe oculaire, et ainsi induire de la myopie.
Lire dans le noir nuit à votre vision
Faux. Lire à la noirceur n’endommagerait pas la vision, dit le Dr Zhu au New York Times. Il faut toutefois s’assurer de tenir le livre ou la liseuse électronique à une distance raisonnable.
Passer plus de temps à l’extérieur est bon pour la santé de vos yeux
Vrai. Une étude menée surtout auprès d’enfants suggère que passer du temps à l’extérieur peut réduire le risque de développer la myopie. Cependant, les experts sont incertains quant aux raisons qui expliquent ce phénomène.
Regarder le soleil directement est nocif pour les yeux
Vrai. Regarder le soleil directement peut être nocif pour vos yeux en raison de l’exposition aux rayons ultraviolets A et B et peuvent même causer des dégâts irréversibles. Ceux-ci peuvent également augmenter les risques de développer un cancer.
Retirer ses lunettes de temps à autre
Faux. Safal Khanal, professeur adjoint en optométrie et sciences de la vision à l’Université de l’Alabama à Birmingham, affirme au New York Times que «si vous avez besoin de lunettes, vous devriez les porter».
Une longue période d’exposition aux écrans nuit à la santé oculaire
Faux. Même si certaines études tendent à démontrer une certaine corrélation entre la lumière bleue des écrans et la régression de la vision, aucune preuve concrète ne confirme cette hypothèse, selon Dr Ehrlich. Il n’y a d’ailleurs aucune preuve que porter des lunettes de protection contre la lumière bleue peut réellement avoir un impact positif sur la santé de l’œil.
Dr Zhu émet toutefois la nuance suivante: «Lorsque nous regardons un écran, nous ne clignons pas des yeux aussi souvent que nous le devrions».
Fumer est mauvais pour vos yeux
Vrai. Si vous n’étiez pas déjà convaincu que fumer la cigarette est mauvais pour la santé, cette habitude est également mauvaise pour la santé de vos yeux.
En effet, une étude de 2011 démontre un lien étroit entre les produits chimiques contenus dans la cigarette et les maladies oculaires dégénératives telles que les cataractes.
Ces produits chimiques endommagent les tissus.
Manger des carottes est bon pour les yeux
Vrai. Bien que les carottes aient des effets positifs sur la santé de l’œil, elles ne vous donneront pas une vision parfaite.
Selon une étude clinique, les antioxydants comme le bêta-carotène et les vitamines C et E pourraient ralentir de processus de vieillissement.
Âge rime avec mauvaise vision
Faux. La majorité des causes d’une baisse de la vue, incluant les cataractes et les glaucomes, sont évitables et traitables, déclare Dr Ehrlich au New York Times
La sous-traitance pour les soins aux anciens combattants inquiète
LEE BERTHIAUME
La Presse Canadienne
Des fonctionnaires qui traitent les dossiers des ex-militaires malades ou blessés au ministère des Anciens Combattants préviennent que des vies pourraient être en jeu alors que le gouvernement va de l’avant avec des plans visant à modifier la façon dont les services de réadaptation physique et mentale sont fournis aux vétérans.
Ces avertissements ont été livrés lundi lors d’un témoignage émouvant devant le Comité permanent des anciens combattants des Communes. Trois gestionnaires de cas ont déclaré qu’elles-mêmes et leurs clients n’étaient pas prêts pour les changements apportés par le gouvernement.
«Le vétéran malade est celui que nous allons perdre et qui passera entre les mailles du filet, a déclaré Angela Aultman, en retenant ses larmes. C’est là que des vies sont en jeu. Et c’est ce qui m’empêche de dormir la nuit.»
L’enjeu tourne autour d’un contrat de 570 millions $ récemment attribué à une organisation externe pour fournir des services de soutien physique et mental aux vétérans les plus à risque du Canada. Le contrat a été octroyé en juin 2021 à «Partenaires des services de réadaptation aux vétérans canadiens» (PSRVC), un partenariat entre deux entreprises, WCG International et Lifemark Health Group.
Le ministre des Anciens Combattants, Lawrence MacAulay, et les représentants du ministère ont plaidé que ce contrat était essentiel à l’amélioration des services pour les anciens militaires aux prises avec des blessures et des maladies liées à leur passage dans les Forces armées.
Charge de travail excessive
Cette «amélioration» comprend l’allègement du fardeau des gestionnaires de cas au ministère, dont la plupart continuent de faire face à une charge de travail excessive malgré les promesses répétées du gouvernement libéral, depuis 2015, de régler ce problème.
Même si le contrat avec PSRVC doit entrer en vigueur mardi, les gestionnaires de cas ont déclaré aux membres du comité que ni eux ni leurs clients n’avaient été correctement formés ou préparés pour la transition.
«Depuis juin, nous avons posé des questions sur la mise en œuvre du nouveau contrat, pour nous faire dire que cette information viendrait», a déclaré Amanda Logan, qui est également présidente de la section locale du Syndicat des employés des anciens combattants, à Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick.
« Nous n’avons pas été correctement formés sur ce nouveau contrat de réhabilitation. C’est très difficile de savoir quoi partager avec nos anciens combattants pour les préparer à ces changements, alors qu’on ne les connaît pas nous-mêmes »
— Amanda Logan, présidente d’une section locale du Syndicat des employés des anciens combattants
Les trois gestionnaires de cas témoignaient en tant que membres du syndicat, qui a déjà réclamé la démission du ministre MacAulay.
Un ex-militaire dans le noir
Le caporal-chef à la retraite Kelly Carter, l’un des 15 000 anciens combattants en contact actuellement avec un gestionnaire de cas pour se remettre de ses blessures et faciliter la transition vers la vie après l’armée, a témoigné lundi qu’il ne savait pas non plus ce que le contrat en sous-traitance allait signifier pour lui.
«Nous n’avons pas du tout été consultés sur ce changement, a déclaré M. Carter. Je suis très préoccupé par le fait que ça n’a pas été discuté, déployé ou mis en œuvre correctement. Et ça peut s’avérer un échec total.»
Le ministère a assuré qu’il avait consulté les gestionnaires de cas avant et après l’attribution du contrat à PSRVC, et que cette sous-traitance les libérerait de certaines tâches administratives afin qu’ils puissent passer plus de temps à travailler directement avec les anciens combattants.
Les responsables ont également assuré que ce changement ne conduirait pas à une réduction du nombre de gestionnaires de cas au ministère.
Anciens Combattants emploie actuellement environ 475 gestionnaires de cas. Ce nombre comprend toutefois une cinquantaine d’employés temporaires, qui doivent aider à réduire l’arrérage global, et une centaine de fonctionnaires en congé de maladie ou qui ne travaillent pas.
Les trois gestionnaires de cas qui ont témoigné lundi n’ont pas mâché leurs mots pour dénoncer le grand nombre d’anciens combattants qui leur sont assignés. Elles ont expliqué qu’elles devaient gérer 40 dossiers ou plus, malgré les promesses répétées des libéraux de réduire la charge de travail moyenne à 25 dossiers.
«Cela a des conséquences sur notre santé et notre bien-être, a soutenu Mme Logan. Vraiment, ça nous empêche de dormir la nuit : on se demande si on n’a pas oublié quelque chose, et quel genre d’impact cela pourrait avoir sur nos anciens combattants et leurs familles.»
Les gestionnaires de cas craignent aussi que le nouveau contrat en sous-traitance ne mène à une éventuelle réduction du rôle et du nombre de gestionnaires au ministère, tout en ajoutant une autre couche de bureaucratie avec laquelle les vétérans malades et blessés devront faire face.
«La privatisation de ces services ne servira qu’à isoler davantage nos anciens combattants de leur gouvernement, de leur communauté et des employés de la fonction publique qui ont à cœur leurs meilleurs intérêts», a déclaré la gestionnaire de cas Whitney McSheffery.
«J’ai le sentiment que le ministère utilise ce contrat pour se distancer davantage des anciens combattants et de leurs familles.»
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RICHARD BÉLIVEAU
MISE À JOUR
L’identification d’une sous-population de cellules tumorales responsables de la récidive des cancers colorectaux sous forme de métastases ouvre de nouvelles avenues thérapeutiques.
La résection chirurgicale représente le traitement standard des cancers colorectaux et permet de guérir la plupart des patients ayant reçu un diagnostic de tumeur localisée.
Malgré tout, ces cancers récidivent chez une proportion importante de patients : environ 5 % des patients opérés pour un cancer colorectal stade I, 15 % de stade II et 40 % de stade III vont en effet développer des métastases dans les années suivantes. Réduire l’incidence de ces récidives représente donc une priorité absolue pour améliorer le taux de survie des patients atteints d’un cancer colorectal.
Sous-population tumorale
La recherche des dernières années a révélé que les tumeurs sont des amalgames hétérogènes complexes de multiples populations distinctes de cellules cancéreuses, chacune d’entre elles utilisant des gènes différents pour assurer la croissance du cancer.
Cela complique évidemment le traitement de la maladie, dans la mesure où même si une approche thérapeutique peut réussir à éliminer complètement une de ces populations, une autre peut lui résister et ainsi permettre à la tumeur de resurgir après le traitement.
Pour identifier la sous-population de cellules tumorales responsables de la récidive post-chirurgicale des cancers colorectaux, une équipe de chercheurs a examiné les gènes préférentiellement exprimés dans des échantillons de tumeurs de patients ayant subi des récidives de leur cancer.(1)
L’analyse individuelle des cellules cancéreuses (single cell transcriptomics) a révélé que la majorité de ces gènes étaient présents dans une population spécifique de cellules tumorales, nommée HRC (high-relapse cells), soit cellules à haut taux de récidive.
Récidive métastatique
Les expériences subséquentes réalisées sur des systèmes modèles indiquent que ces cellules HRC sont les grandes responsables des métastases postchirurgicales.
Les chercheurs ont observé que les cellules HRC non éliminées par la chirurgie donnaient naissance à une variété de cellules cancéreuses ayant un fort potentiel métastatique.
À l’inverse, l’élimination d’un des principaux gènes (EMP1) retrouvés dans les cellules HRC a complètement aboli l’apparition de métastases après l’élimination chirurgicale de la tumeur.
Vulnérabilité immunitaire
Un aspect très important de l’étude est de montrer qu’en dépit de leur fort potentiel métastatique, les cellules HRC qui migrent vers les organes périphériques sont toutefois dépourvues d’un micro-environnement tumoral optimal pour permettre leur croissance.
Cette carence semble rendre ces cellules très vulnérables à l’action du système immunitaire adaptatif (par les lymphocytes T cytotoxiques), car l’addition d’une immunothérapie néoadjuvante (avant la chirurgie) diminue considérablement l’incidence de métastases post-chirurgicales.
Selon les auteurs, l’utilisation des nombreuses formes d’immunothérapie qui sont devenues disponibles au cours des dernières années pourrait permettre d’obtenir des résultats similaires chez les patients et avoir des répercussions spectaculaires sur leur probabilité de survie.
Le cancer est une maladie d’une rare complexité, qui requiert souvent une combinaison de plusieurs approches thérapeutiques pour parvenir à le vaincre. Un défi que la recherche réussit à relever de plus en plus souvent, chacun de ces petits gains ouvrant la voie vers la victoire finale contre cette maladie.
(1) Cañellas-Socias A et coll.Metastatic recurrence in colorectal cancer arises from residual EMP1+ cells. Nature 2022 ; 611 : 603-613.
Je suis de retour avec vous afin de compléter mon implication sur l’information recueillie un peu partout concernant les aînés. Bonne lecture. N.B. Je vous conseille fortement de consulter les articles antérieurs en défilant vers le bas.
Accès à Internet : 2 pétitions pour brancher le Québec !
Le Comité de travail Internet haute vitesse de Saint-Adolphe-d’Howard a annoncé récemment le lancement de deux pétitions en ligne.
L’une adressée à l’Assemblée nationale du Québec, parrainée par Agnès Grondin, députée d’Argenteuil, et l’autre, adressée à la Chambre des communes d’Ottawa, parrainée par Stéphane Lauzon, député d’Argenteuil-La-Petite-Nation.
Être connecté: un service essentiel!
Le comité invite tous les citoyens du Québec à les signer car :
L’accès à Internet une ressource indispensable en temps normal, et plus encore en temps de pandémie.
Il y a encore à ce jour 340 000 foyers québécois qui ne sont pas branchés !
Signer ces pétitions, c’est contribuer à la vitalité de toutes les régions du Québec, que l’on soit branché ou non à Internet.
Lien web pour la pétition à l’Assemblée nationale :
À propos du Comité de travail Internet haute vitesse de Saint-Adolphe-d’Howard :
Le Comité de travail Internet haute vitesse de Saint-Adolphe-d’Howard s’est donné pour mission de favoriser l’accès à Internet haute vitesse à tous les citoyens de la municipalité et vise les 3 objectifs suivants : (i) faire les démarches nécessaires afin que la totalité de la population ait accès à Internet haute vitesse par fibre optique; (ii) travailler en concertation avec toutes les parties prenantes à ce dossier afin d’accélérer le processus; et (iii) à court terme, trouver des solutions temporaires pour répondre aux besoins des citoyens qui ont besoin d’Internet (« itinérants Internet »).
Comme à chaque année, l’infolettre fait relâche pour le congé des fêtes. La prochaine édition sera publiée le 15 janvier 2021. En cette période si particulière que nous traversons, COMACO tient à souhaiter à ses membres, à ses partenaires et aux ainés qu’ils desservent, un excellent temps des fêtes. Que l’année 2021 nous soit plus douce.
Dans le communiqué paru sur le site newswire.ca le 16 décembre 2020, Marguerite Blais, ministre responsable des Ainés et des Proches aidants, réitère l’importance de poursuivre les efforts collectifs pour assurer la sécurité des personnes ainées et des plus vulnérables. Il y est également mentionné qu’en zone rouge les rassemblements à l’intérieur comme à l’extérieur sont interdit durant la période des fêtes. Toutefois, afin de contrer l’isolement, un assouplissement a été apporté concernant les personnes seules, vivant à la maison ou en résidences privées pour aînés: celles-ci pourront se joindre à une seule et même bulle familiale durant cette période. Voyez ici la liste détaillée des mesures applicables.
Des doses du vaccin de Moderna arriveront plus tôt que prévu au Canada
L’article d’ICI.Radio-Canada, paru le 15 décembre 2020, annonce que le Canada recevra 168 000 doses du vaccin de Moderna dans les 48 heures qui suivront son approbation par Santé Canada. D’ailleurs, le Premier ministre, Justin Trudeau, a stipulé qu’advenant l’approbation rapide du vaccin, le pays serait en voie de recevoir 417 000 doses avant le début de 2021. Monsieur Trudeau a aussi indiqué que le Canada recevra 200 000 doses supplémentaires du vaccin de Pfizer-BioNTech la semaine prochaine. Ces doses pourront être acheminées à 70 sites d’injection différents, soit 56 sites de plus qu’à l’heure actuelle.
10 questions pour comprendre la vaccination contre la COVID
L’articled’ICI.Radio-Canada, paru le 15 décembre 2020, répond à certaines questions quant à la campagne de vaccination qui se met en place partout au pays. Par exemple : Qui vaccinera-t-on en priorité? Pourquoi priorise-t-on les aînés? Ou encore, y a-t-il des personnes qui ne devraient pas être vaccinées? Voyez les réponses d’experts de la santé.
Les craintes du vaccin sont-elles justifiées ?
L’article paru sur le site de La Presse, le 15 décembre 2020, indique que c’est près de 300 Québécois qui se sont fait vacciner lundi dernier. Malgré cela, bon nombre de personnes (notamment des employés de la santé) continuent d’exprimer leurs réticences. La Dre Anne Gatignol, professeure et virologue à l’Université McGill spécialisée dans les virus, répond aux inquiétudes de la population et mentionne « il faudrait que 70 % des gens se fassent vacciner. Si on n’en arrivait qu’à 60 %, peut-être que l’on continuerait de vivre avec la COVID-19. Mais dans la mesure où le taux de mortalité serait beaucoup plus faible que maintenant, on pourrait peut-être s’en accommoder, comme c’est le cas avec la grippe saisonnière, qui fait un certain nombre de victimes chaque année ». Elle n’hésite pas à préciser qu’elle-même se fera vacciner.
Liste des commerces prioritaires du 25 décembre au 10 janvier
Afin de profiter de la période des fêtes et de limiter la propagation de la COVID-19, le gouvernement du Québec a annoncé le 15 décembre dernier que l’ensemble des commerces non prioritaires devront fermer du 25 décembre 2020 au 10 janvier 2021 inclusivement. Voici la liste des commerces autorisés à poursuivre leurs activités : commerces d’aliments et de fournitures pour les animaux; commerces d’articles médicaux, orthopédiques et soins de la vue; commerces d’équipements de travail; commerces de nettoyage, de produits d’entretien ménager et de bâtiments; commerces de produits, pièces et autre matériel nécessaires aux services de transport et de logistique (garages pour réparation seulement, pas de vente par concessionnaires); commerces de produits pour exploitations agricoles (mécanique, engrais, etc.); commerces offrant des services de réparation d’équipement informatique et électronique; dépanneurs; épiceries et autres commerces d’alimentation; magasins à grande surface; pharmacies; quincailleries; réparation et location d’équipement sportif et de plein air; société des alcools du Québec (SAQ); société québécoise du cannabis (SQDC). Consultez ici le site de quebec.ca.
Formations-Rapports-Conférences
Prévenir le suicide chez les aînés : repérer, protéger et redonner espoir
Certains intervenants peuvent se sentir mal outillés en matière de prévention du suicide auprès des ainés. C’est pourquoi L’Association québécoise de prévention du suicide (AQPS) a développé différentes formations sur la façon d’agir adéquatement auprès des personnes ainées suicidaires. Vous trouverez, en pièce jointe, la description de ces formations. Pour connaitre tous les détails sur les modalités d’inscription, les lieux et dates des formations, communiquez avec l’équipe de l’AQPS au 418 614-5909, poste 38, ou par courriel à sdevaux@aqps.info ou spelletier@aqps.info.
Nouvelles des membres et partenaires
Cultiver l’autocompassion
Le Regroupement des aidantes et aidants naturels de Montréal (RAANM) organise un atelier-conférence qui a pour thème « cultiver l’autocompassion ». La conférencière invitée est Madeleine Fortin, coach et auteure. Cette activité aura lieu le 13 janvier prochain, de 13 h 30 à 15 h. Les inscriptions pourront être reçues durant la période des fêtes à vieassociative@raanm.net. La date limite pour s’inscrire est le 11 janvier 2021.
Rester actif en période de pandémie lorsqu’on a 60 ans et plus
La Direction régionale de santé publique de Montréal (DRSP) propose un outil simple à utiliser pour aider les personnes de 60 ans et plus dans leur prise de décision concernant leur participation à une activité. À 60, 75 ou 90 ans, il est possible de choisir et d’adapter des activités qui permettent de sortir et de demeurer actif, tout en minimisant le risque d’être en contact avec le coronavirus. Découvrez, en pièce jointe, cet outil de réflexion.
Brigade de proximité
Le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal, en collaboration avec la Direction régionale de la santé publique, a mis sur pied une brigade de proximité pour soutenir le travail de prévention et la gestion des éclosions dans les milieux communautaires. Cette brigade, sous la responsabilité de la Direction des services généraux et partenariats urbains, est composée d’organisateurs communautaires ainsi que de professionnels de la santé et des services sociaux. Ces derniers seront appelés à intervenir en fonction des différentes situations. Vous trouverez le document complet en pièce jointe.
Ressources contre les effets collatéraux des mesures de lutte contre la COVID
Aussi, le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal propose un répertoire sur les ressources contre les effets collatéraux des mesures de lutte contre la COVID-19 chez les ainés. Il y est question, entre autres, de bien-être psychologique, de participation sociale, d’alimentation et de deuil. Vous trouverez ce document, qui vise essentiellement les personnes ainées, en pièce jointe.
De façon personnalisée, en toute flexibilité selon ses intérêts et son horaire, chaque Citoyen(ne) RADAR fait sa part pour aider les aînés du quartier en tant qu’ambassadeur!
Dans son quotidien personnel et/ou professionnel, que ce soit par du référencement, des appels d’amitié, du publipostage, de la communication/publicité, des tâches administratives, du soutien événementiel (… et bien plus encore), il est acteur de changement en créant ce filet social de solidarité et de bienveillance au sein de la communauté!
Comment corriger une mauvaise réception sur la bande FM?
Repérez les sources éventuelles d’interférences FM. Il se peut que l’antenne FM reliée au système capte des interférences. Pour déterminer si c’est le cas, procédez comme suit :
Vérifiez si l’antenne est à moins d’un mètre d’autres appareils électroniques ou électriques tels qu’un téléviseur, un terminal numérique, un routeur sans fil, un variateur de lumière, une source d’éclairage fluorescent, une guirlande lumineuse clignotante, un micro-ondes ou tout autre appareil similaire.
Débranchez tous les appareils situés près de l’antenne afin d’éliminer ces sources d’interférences potentielles.
Dans certains cas, des interférences peuvent se produire au niveau de la prise électrique. Il peut être utile de brancher le cordon d’alimentation dans une prise appartenant à un autre circuit que celui qui alimente les appareils ou sources d’éclairage mentionnés plus haut.
Déplacez l’antenne. Si cela résout le problème, gardez-la aussi loin que possible et à au moins un mètre des autres appareils et de leurs cordons d’alimentation.
Branchez l’appareil dans une autre prise électrique. Il est possible que la prise électrique émette des interférences, un bourdonnement ou génère une tension intermittente ou variable.
Déplacez légèrement l’antenne FM. Si la réception s’améliore, continuez à déplacer l’antenne dans la même direction. Lorsque la réception commence à se dégrader, déplacez légèrement l’antenne dans la direction opposée. Tâchez également de garder l’antenne la plus droite possible. Les signaux d’une station FM voyageant en ligne droite, il se peut que la réception FM soit plus faible au creux d’une vallée, ou encore près du sol dans les villes où l’on retrouve de grands immeubles.
Fraude financière par téléphone (faux représentant)
Appel à la vigilance des personnes aînées
Montréal, le 16 décembre 2020. – Depuis le début de l’automne dernier, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) constate que des personnes aînées sont victimes de fraudes financières par téléphone commises par de faux représentants. C’est pourquoi le SPVM fait appel à la vigilance des personnes aînées et à celle de leur entourage afin de prévenir ce type de fraude.
Modus operandi
Le fraudeur communique avec la victime par téléphone en se présentant faussement comme étant un employé d’une institution financière, tel qu’un conseiller ou un enquêteur, ou même en tant que policier.
Ce faux représentant peut être au courant de certaines transactions bancaires effectuées par la victime et il lui en fait mention afin de se donner de la crédibilité et de gagner la confiance de celle-ci lors de l’appel.
Une fois le lien établi, le faux représentant explique à la personne aînée qu’elle aurait été victime d’une fraude et lui propose des solutions afin qu’elle puisse protéger ses avoirs ou obtenir de nouvelles cartes de débit ou de crédit.
Différents stratagèmes
Le faux représentant utilise différents stratagèmes pour amener la victime à poser des actions.
En outre, il demande à la personne aînée de :
transformer ses avoirs en cryptomonnaie, ex. : en Bitcoin, et de lui faire parvenir en vue d’un placement;
rembourser le montant de la présumée fraude en achetant des cartes prépayées, ex. : Google Play;
lui faire parvenir ses cartes bancaires avec ses numéros d’identification personnelle (NIP) afin d’en obtenir de nouvelles.
Parfois, il propose même à la victime de mettre les cartes prépayées ou ses cartes de débit ou de crédit avec les NIP correspondants dans une enveloppe afin qu’une personne passe les chercher. Le faux représentant peut aussi demander à la victime de déposer cette enveloppe sous le tapis à l’extérieur de la porte d’entrée, dans la boîte aux lettres ou même lui offrir de venir récupérer le tout en personne.
Conseils de prévention
Si vous recevez un appel d’un représentant de votre institution financière ou d’un policier, celui-ci devrait déjà avoir toutes vos informations en main.
Ne lui donnez pas aucun détail de plus.
Ne vous fiez pas systématiquement à ce qui est écrit sur l’afficheur de votre téléphone pour confirmer l’authenticité de votre interlocuteur. Il existe, par exemple, des logiciels qui permettent de modifier l’affichage du vrai numéro d’appel.
Au moindre doute, raccrochez et vérifiez l’authenticité de l’appel en communiquant directement avec votre institution ou avec votre service de police.
Aucun service de police, service gouvernemental ou institution financière ne demande de transférer des fonds par cryptomonnaie, d’effectuer l’achat de cartes prépayées ou ne propose de venir chercher vos cartes à domicile pour rembourser une dette occasionnée par une présumée fraude ou protéger vos avoirs.
Ne remettez jamais vos cartes bancaires ou vos NIP à qui que ce soit, sous aucun prétexte, à moins de vous trouver en personne à votre institution financière ou d’avoir communiqué vous-même avec la police.
En cas de fraude ou de situation semblant frauduleuse
Vérifiez la validité de l’appel; communiquez vous-même avec votre institution à l’aide d’un numéro de téléphone officiel.
Vous ne devez pas avoir honte si vous êtes victime : le fraudeur est un excellent manipulateur. Dénoncez-le.
Pour rapporter une fraude
En cas d’urgence, composez le 9-1-1 pour joindre le SPVM ou votre service de police local si vous habitez à l’extérieur de Montréal.
Communiquez avec le Centre antifraude du Canada au 1-888-495-8501 • antifraudcentre-centreantifraude.ca
Si vous êtes victime ou témoin de fraude ou de vol, communiquez avec :
la Ligne Aide Abus Aînés, au 514 489-2287 • ca;
Info Crime-Montréal, de façon anonyme et confidentielle au 514 393-1133 infocrimemontreal.ca.
Si ce n’est pas urgent, mais que vous souhaitez communiquer avec le SPVM, vous pouvez le faire en communiquant directement avec votre poste de quartier (PDQ) en composant le 514 280-01XX (XX correspond au numéro du PDQ).
Coûts de soins à domicile et comparaison des options
Quand vient le temps de prendre des décisions importantes de soins, les coûts de soins à domicile et les comparaison de vos options est cruciale!
Il arrive un moment où nous sommes tous confrontés à des choix de soins de santé pour nous-mêmes ou un proche. La décision sera probablement basée sur un certain nombre de facteurs, y compris les besoins en soins de santé, les préférences personnelles et, bien sûr, les coûts de soins à domicile et des options disponibles.
Il y a plusieurs options à prendre en considération pour les personnes âgées et leurs familles. Un sondage RBC publié en 2013 a révélé que 91 % des ainés ont répondu qu’ils désirent rester dans leur maison ou dans leur quartier et vivre de façon autonome aussi longtemps que possible. Ils préféraient de loin cette option à celle d’emménager dans une maison de retraite, aller dans un établissement de soins de longue durée, ou se déplacer chez la famille pour aider à leur prise en charge. Pour aider à prendre la bonne décision, il est important de comprendre les coûts de soins à domicile et les exigences supplémentaires associés à chaque option.
Apperçu des coûts de soins à domicile
Lorsqu’une personne âgée commence à recevoir des services de soins à domicile, elle a souvent accès à une aide et du soutien de la famille, des amis ou des voisins impliqués dans la prise en charge ou de l’accompagnement. Cela peut considérablement réduire le coût de soins à domicile.
Les coûts de soins à domicile financés par l’État ne sont pas accessibles aux Canadiens sur une base universelle. Au Québec seulement, 4% des dépenses totales de santé sont attribués aux services de soins à domicile (Budget 33M et 1.338M en soins à domicile pour 2014-2015). Les statistiques montrent qu’environ 26% des Canadiens qui sont au prise avec un grave problème de santé seront pris en charge par un membre de la famille ou un ami proche. Les aidants naturels fournissent 80% des soins à domicile, en complémentarité avec le service financé par le gouvernement. La recherche montre également que les aidants naturels passent en moyenne 20 heures par semaine à prendre soin de leurs proches sur une période de 4 ans; tandis que le quart des aidants naturels passent 40 heures /semaine à aider ses proches.
Les soins privés sont généralement utilisés une fois que les aides gouvernementales et les membres de la famille sont épuisés. Selon de nombreuses sources, ce point de basculement se produit généralement à environ 20 heures d’aide par semaine. Une bonne entreprise de soins privés devrait être en mesure d’offrir des services en tenant compte des services gouvernementaux en place et des horaires de la famille pour combler les besoins restants.
Le client moyen de RETRAITE À DOMICILE dépense environ 1500$ à 2000$ par mois; ca c’est le coûts de soins à domicile pour rester à son domicile. Certains clients paient aussi peu que 80 $ par mois pour combler certains besoins de base, tels que l’entretien ménager ou soins des pieds. À l’autre extrémité de l’échelle, des clients reçoivent un soutien 24/7 lors de situations de crise ou pour des soins palliatifs. En l’absence de contrat, le service peut être aussi flexible que vous le désirez afin de maximiser le mieux-être et réduire les coûts autant que possible.
Coût: Aperçu des soins en établissement:
Pour ceux qui choisissent d’autres options, comme une résidence autonome, semi–autonome ou avec une unité de soins de longue durée, il y a beaucoup d’options à choisir.
Voici une liste des frais reliés (les coûts peuvent varier et changer).
Résidence privée autonome
Non-gouvernemental, le client paie (privé)
Gamme de prix : 2075 $ à $ 4750
550 $ à 1600 $ par personne supplémentaire.
Les repas peuvent être offerts, mais ne sont pas souvent inclus
Pas de soutien personnel ou sur demande
Personnel 24/7 disponibles pour les urgences
Programmes de loisirs sociaux souvent disponibles
Inclue ménage /
Résidence privée semi-autonome
Non-gouvernemental, le client paie (privé)
Gamme de prix : 1760 $ à $ 5,500
600 $ à 1000 $ par personne supplémentaire
Comprend tous les repas, l’entretien ménager, buanderie
Soutien et assistance aux activités de la vie quotidienne personnelle, médicaments sont disponibles à l’achat
Personnel 24/7 disponibles pour les urgences
Programmes sociaux / récréatifs
Supervisé par le gouvernement (réglementé), le client paie les frais d’hébergement
Exige l’évaluation du CLSC pour déterminer l’admissibilité
Gamme $ 1620 à $ 2170
Les soins de 24 h sont disponibles, mais avec un ratio moyen de 12 patients/1 aidant, les soins sont généralement minimes
Comprend tous les repas, l’entretien ménager, buanderie
Unité de soins de longue durée (CHSLD)
Réglementé par le gouvernement,
Le client paie les frais d’hébergement
L’évaluation du CLSC est exigée pour déterminer l’admissibilité 1811.40$
Soins 24 h disponibles, mais il est généralement minime avec un ratio moyen de 12 patients: 1 aidant
Comprend tous les repas, l’entretien ménager , buanderie
Plus de 6.000 personnes sur les listes d’attente, attendant souvent 2-3 ans
Exemple de comparaison des coûts entre Retraite à domicile et une résidence pour ainés
Le client a besoin de 3 heures par jour de soins personnels, aide aux repas, des rappels de médicaments.
Prix moyen d’un logement en résidence = 3500 $ par mois (pour une personne).
Coût des soins horaire = 29 $ / heure.
Option1 –Résidence pour ainés
Se déplacer à la maison de retraite sur contrat d’un an
Assumer 1 heure par jour de soins personnels, 2 heures par jour seront facturés au client
Repas inclus
= 3500 $ + (2 heures x 30 jours et 29 $ / heure)
= 3500 = $ + 1740 $ = 5240 $
Option2 – Retraite à domicile:
Personnel embauché par Retraite à domicile, reste dans leur propre maison, aucun contrat
Ratio: un patient /1 aidant
Facture d’épicerie pour une personne = 300 $ / mois
Utilitaires = 400 $ / mois
Système pour les chutes installé pour les urgences 40 = $ / mois
= (3 heures x 30 jours x 26 $ / heure) + 400+ 300 $ + $ + 40 $ = 3080 $
– moins remboursement crédit pour maintien à domicile des ainés = 2284$
Lundi, 9 novembre 2020 00:00MISE À JOUR Lundi, 9 novembre 2020 00:00
Les psychiatres québécois souhaitent qu’un programme novateur d’intervention à domicile développé dans la Capitale-Nationale soit déployé partout dans la province afin de venir en aide aux citoyens en crise sans les hospitaliser.
Les trois équipes d’Andréane Dionne-Jalbert interviennent annuellement auprès de quelque 200 patients souffrant de maladie mentale en état de décompensation sévère, sans les sortir de leurs milieux de vie.
«Notre travail, c’est de faire de l’hospitalisation à la maison», résume la cheffe de service du Traitement intensif bref à domicile (TIBD), lié à l’Institut universitaire en santé mentale de Québec.
Intervenir plus tôt
Mis en place il y a une dizaine d’années dans la Capitale-Nationale, le TIBD est une approche unique au Québec qui fait l’envie des psychiatres ailleurs en province.
Olivier Farmer Psychiatre
«Ça pourrait être déployé à la grandeur du Québec. Le pari qu’on ferait, avec ça, c’est de fermer des lits d’hospitalisation et, avec cette fermeture, de financer une approche beaucoup plus proactive de service à domicile», dit le Dr Olivier Farmer, psychiatre à l’Hôpital Notre-Dame, à Montréal, et porte-parole pour l’Association des médecins psychiatres du Québec.
Lorsque le TIBD intervient, une équipe – qui inclut psychiatres, infirmiers et travailleurs sociaux – rend visite au patient à domicile au moins deux fois par jour, sept jours par semaine, pendant environ 10 semaines.
L’intervention inclut les prises de sang, la supervision de la médication ou l’administration de médicaments injectables. «Ça permet aussi de voir son milieu de vie, si les choses se passent bien au niveau de l’alimentation, de l’hygiène, la relation avec la famille», note Andréane Dionne-Jalbert.
Pour le Dr Olivier Farmer, l’approche de Québec a le grand avantage de permettre le traitement de patients en détresse qui ne peuvent être hospitalisés de force s’ils ne représentent pas un danger pour eux-mêmes ou pour autrui.
Plus facile à faire accepter
«En offrant le traitement à domicile, ça pourrait permettre à la personne d’accepter plus facilement les soins et ainsi éviter un parcours détérioratif qui peut durer parfois des jours, des semaines, des mois jusqu’à ce que la dangerosité pour autrui, pour elle-même, puisse être évoquée et que la personne puisse être amenée de force à l’hôpital», souligne le Dr Farmer.
La question des soins en santé mentale est revenue dans l’actualité après la tuerie dans le Vieux-Québec.
Même si les motivations du tueur demeurent inconnues, le maire Régis Labeaume a relancé le débat en soulignant que les problèmes de santé mentale constituent un des « plus grands problèmes de sécurité dans les grandes villes canadiennes pour les prochaines décennie».
TRAITEMENTINTENSIF BREFÀ DOMICILE
Prise en charge à domicile, plutôt qu’à l’hôpital, de patients en crise.
Destiné notamment aux adultes schizophrènes ou souffrant de psychose.
3 équipes multidisciplinaires incluant psychiatre, infirmière et travailleur social.
L’équipe visite le patient au moins deux fois par jour, pendant une moyenne de 10 semaines.
Au Québec, tous les conducteurs doivent satisfaire à des exigences liées à l’état de santé et à la vision. Ils ont aussi l’obligation de signaler à la Société de l’assurance automobile du Québec tout changement pouvant nuire à leur capacité de conduire.
La gratuité du transport ambulancier vers un centre hospitalier est accordée aux personnes de 65 ans ou plus qui présentent une condition médicale nécessitant un transport en ambulance.
Les contrats d’arrangements préalables de services funéraires et de sépulture permettent de prévoir l’organisation de ses funérailles et de choisir le lieu de sa sépulture. Rédigés par un titulaire de permis de directeur de funérailles, ces contrats simplifient les démarches des proches éprouvés par le deuil.
Lors d’un conflit ou d’une séparation, les parents ne peuvent, sans motif grave, faire obstacle aux relations personnelles des enfants avec leurs grands-parents. S’il est difficile ou impossible pour les grands-parents de voir leurs petits-enfants à cause du refus des parents, ils peuvent faire valoir leurs droits en s’adressant au tribunal.
L’exploitation des personnes âgées et des personnes handicapées est interdite par la Charte des droits et libertés de la personne. L’exploitation est le fait de profiter de l’état de vulnérabilité ou de dépendance d’une personne pour la priver de ses droits. Toute personne victime d’exploitation, de discrimination ou de harcèlement peut porter plainte à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.
Les personnes aînées qui subissent de la maltraitance peuvent avoir recours à des ressources et à des services. De plus, toute personne aînée qui est victime de maltraitance ou toute personne qui est témoin d’une situation de maltraitance peut porter plainte de manière confidentielle.
Procuration Information du ministère de la Justice du Québec
La procuration est un mandat par lequel une personne en désigne une autre pour accomplir des actes administratifs courants, notamment le paiement de factures, ou des actes plus importants tels que la signature d’un bail de logement ou la vente d’une maison. La personne qui donne cette procuration doit être apte à gérer elle-même ses biens.
Testament Information du ministère de la Justice du Québec
Un testament est un document dans lequel une personne indique qui seront ses héritiers et comment seront distribués ses biens après sa mort. Elle peut également y nommer un liquidateur de succession ou un tuteur pour son enfant mineur, le cas échéant. La personne peut annuler son testament et le refaire autant de fois qu’elle le souhaite.
Le programme Allocation-logement offre une aide financière à des ménages à faible revenu qui consacrent une part trop importante de leur budget à leur logement. L’aide est calculée selon le nombre de personnes que compte le ménage, le type de ménage, le montant du loyer et le revenu annuel.
La Charte des droits et libertés de la personne interdit que l’on se base sur des caractéristiques d’une personne telles que son âge ou sa condition sociale pour la traiter différemment (par exemple lui refuser la location d’un logement). Si vous subissez une telle discrimination, vous pouvez porter plainte à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.
Cette subvention est une aide financière accordée aux personnes de 65 ans ou plus dont la résidence a augmenté de valeur manière importante.
Aide à domicile
Aide domestique Administré par la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ)
Le Programme d’exonération financière pour les services d’aide domestique permet aux personnes admissibles de bénéficier d’une réduction du tarif horaire demandé lorsqu’elles recourent à des services d’aide domestique (par exemple l’entretien ménager, la préparation des repas). Ces services doivent être fournis par une entreprise d’économie sociale reconnue par le ministère de la Santé et des Services sociaux.
Popote roulante Service offert par le Regroupement des popotes roulantes
La Popote roulante est un service de livraison de repas chauds à domicile permettant à certaines personnes de demeurer chez elles et procurant à d’autres un répit. Le service s’adresse aux aînés, aux personnes en convalescence, aux personnes handicapées, aux femmes enceintes et aux proches aidants. Pour joindre la popote roulante la plus près de chez vous, adressez-vous au Regroupement des popotes roulantes.
Par Madeleine Fortier, formatrice et auteure du livre Usure de compassion : jusqu’où aller sans se brûler ?
« Il y a quatre types de gens dans ce monde : ceux qui ont été aidants, ceux qui sont aidants, ceux qui seront aidants et ceux qui auront besoin d’un aidant », a dit en 2003 Rosalynn Carter, ex-première dame des États-Unis. Petit guide pour éviter l’usure de compassion, cette menace qui plane au-dessus des proches aidants.
L’usure de compassion est une profonde érosion émotionnelle et physique qui prend place lorsque les proches aidants ne sont plus capables de se régénérer et de se ressourcer. On l’appelle parfois le « burn-out de l’aidant ». Elle peut toucher tous ceux qui aident les autres et qui sont tellement engagés qu’ils s’oublient au point de s’épuiser : proches aidants, bénévoles, intervenants, et finalement toutes les personnes empathiques pour qui la compassion est naturelle et essentielle.
À quoi porter attention ?
Comme le mot « usure » le laisse entrevoir, il s’agit d’un phénomène qui peut entraîner des changements lents et profonds souvent difficiles à discerner. Pour cette raison, il faut porter attention à ses propres signaux d’alarme et développer de la vigilance, pour soi-même comme pour les autres.
Un des signaux d’alarme les plus fréquents est lorsque l’empathie se transforme en sympathie : on prend sur soi la souffrance des autres, on fusionne avec cette souffrance jusqu’à devenir incapable de prendre du recul.
Cependant, les symptômes ne sont pas les mêmes pour tous. Il est donc important d’être à l’affût de ses propres signaux d’alarme, par exemple en faisant de l’auto-observation : changements d’humeur, de comportement, variation dans les émotions, apparition de malaises physiques ou psychologiques en lien avec le rôle de proche aidant.
Voici quelques-uns des symptômes qui ont été mentionnés le plus fréquemment par les participants à mes ateliers sur l’usure de compassion :
Fort sentiment d’impuissance
Émotions diverses et souvent contradictoires
Culpabilité
Stress
Colère
Sentiment d’isolement et d’incompréhension
Grande fatigue physique et mentale
Problèmes de sommeil et problèmes alimentaires
Quelles sont les causes possibles ?
Diverses raisons peuvent fragiliser les personnes aidantes et les amener à glisser vers une surcharge émotionnelle, propice à l’apparition de l’usure de compassion. Par exemple, le syndrome du sauveur, le manque d’équilibre entre les diverses sphères de la vie, des difficultés personnelles ou professionnelles, la réticence à demander de l’aide, l’hyper-responsabilité, l’absence de réseau social, une mauvaise ambiance de travail et des attentes de rendement irréalistes.
Comment se protéger ?
Ici encore, les moyens de se protéger varient selon les personnes. Néanmoins, nous avons pu dégager quatre grands axes :
Apprendre à se connaître et à s’apprécier; développer de la bienveillance pour soi-même, conserver son identité propre.
Reconnaître et respecter ses limites.
Aller chercher de l’aide, s’entourer de personnes positives, parler de ses émotions à des gens de confiance.
Prendre soin de soi, prendre du temps pour soi, faire des activités plaisantes, bien s’alimenter et se reposer, garder son sens de l’humour.
Un plan d’action
Une des façons les plus concrètes de se protéger de l’usure de compassion, c’est de dresser un plan d’action. En effet, une fois qu’on a appris à reconnaître les signaux d’alarme et les causes potentielles, il devient plus facile de choisir une à trois actions qu’on aimerait poser dans un but préventif.
Ces actions doivent être concrètes, réalistes, plaisantes et situées dans le temps. Par exemple : « À partir de lundi prochain, je vais commencer à faire 15 minutes d’exercice par jour. Je vais aussi demander à Michèle qu’elle m’encourage à le faire. »
Prendre soin de soi
« Prendre soin de soi n’est pas quelque chose que nous réussissons à faire une fois pour toutes et pour laquelle nous recevons un diplôme que nous pouvons placer au mur », avertit Françoise Mathieu dans son livre The Compassion Fatigue Workbook (Routledge, 2012).
Il est donc nécessaire de demeurer vigilant. Toutefois, prendre soin de soi devrait devenir aussi naturel et essentiel que prendre soin des autres. Car pour prendre soin des autres, on doit d’abord être en mesure de prendre soin de soi !
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« L’usure de compassion est une profonde érosion émotionnelle et physique parfois appelée « burn-out de l’aidant » »
Le Mois de prévention de la fraude nous revient avec un slogan qui dit tout : « La fraude évolue, restons vigilants ». Voici quatre types de fraudes courants en 2020 et de multiples conseils afin de les prévenir.
Précieuse identité
Il ne se passe pas une semaine sans que ce type de fraude ne défraie la manchette. Il y a vol d’identité lorsqu’une personne obtient sans votre consentement vos renseignements personnels à des fins criminelles. Il y a fraude d’identité lorsque ces renseignements personnels sont utilisés pour accéder à vos comptes bancaires, obtenir un passeport, toucher des prestations gouvernementales, etc.
Pour mettre les chances de votre côté que vos renseignements personnels ne soient pas volés, prenez soin de ne les transmettre que si c’est absolument nécessaire, de vérifier vos paramètres de confidentialité et de sécurité, d’installer un antivirus sur vos appareils mobiles, de vérifier vos relevés de compte bancaire et de carte de crédit pour y déceler toute transaction que vous n’auriez pas faite, etc.
De bonnes habitudes à prendre :
Supprimez de vos appareils mobiles les photos de votre passeport, votre carte d’assurance maladie et votre permis de conduire.
Déchiquetez tout document contenant des renseignements personnels avant d’en disposer.
Supprimez les courriels dont vous ne connaissez pas l’expéditeur et évitez de cliquer sur un lien ou d’ouvrir un fichier d’origine inconnue.
Mes cartes de paiement : pas touche!
Ce type de fraude englobe les fraudes commises avec les cartes de crédit et de débit ou les informations de ces cartes.
Pour vous en protéger, il faut entre autres mémoriser vos numéros d’identification personnels (NIP), les modifier régulièrement et ne les divulguer à personne. Il importe aussi de rapporter le plus rapidement possible la perte ou le vol de votre carte de paiement.
De bonnes habitudes à prendre :
Gardez sur vous le minimum de cartes de crédit et de débit, en conservant les autres en lieu sûr.
Glissez vous-même votre carte lors d’une transaction et ne la perdez jamais de vue.
« Paiement urgent », mon œil!
Si l’on vous sollicite par message texte, téléphone ou courriel et qu’on vous réclame de l’argent ou des informations, par exemple en se présentant comme un agent gouvernemental exigeant sur-le-champ le règlement d’impôts impayés, il y a anguille sous roche! Plutôt que de céder à cette tactique de pression indue, sous forme de menaces et sur fond d’urgence d’agir, activez vos antennes de prudence et de scepticisme. En effet, les organismes gouvernementaux ne mettent pas de l’avant de telles pratiques. Il vaut mieux raccrocher, puis contacter soi-même l’organisme pour vérifier si la demande est légitime.
De bonnes habitudes à prendre :
Trouvez vous-même le bon numéro de téléphone pour joindre l’organisme qui vous a supposément contacté (le numéro et le nom apparaissant sur l’afficheur peuvent sembler corrects tout en ne l’étant pas).
Méfiez-vous des courriels en provenance d’institutions bancaires ou du gouvernement qui vous demandent des informations personnelles, car ces organisations ne demandent pas de telles informations de cette manière.
Cœur brisé, compte bancaire troué
Les arnaques amoureuses se retrouvent elles aussi régulièrement dans les journaux et font gonfler les statistiques de fraude, bien que de nombreuses victimes restent campées dans le silence et la honte d’avoir été bernées par des séducteurs guidés par l’appât du gain.
Ces fraudeurs créent de faux profils sur les réseaux sociaux ou les sites de rencontre et entrent ainsi en contact avec leurs victimes. Ils font preuve de patience dans leur stratagème de séduction et feignent des sentiments amoureux, pour mieux établir un lien de confiance avec leurs victimes. Puis, ils font la grande « demande » : un envoi d’argent! Ils évoquent alors des problèmes financiers de tous ordres.
Comment s’en prémunir? La prudence et le scepticisme sont de mise, sur les sites de rencontre et sur les réseaux sociaux. Par exemple, il ne faut pas envoyer d’argent à une personne qu’on ne connaît que virtuellement, ni lui divulguer ses informations bancaires.
De bonnes habitudes à prendre :
Refusez les demandes d’amitié de la part de personnes que vous ne connaissez pas.
Évitez de partager des photos ou des vidéos explicites.
Les 3D : détecter, dénoncer, décourager
Pour en savoir plus sur ces types d’escroqueries et sur d’autres stratagèmes utilisés par les fraudeurs pour vous soutirer votre argent ou votre identité, vous pouvez consulter le document La fraude en 3D, produit par la Banque du Canada, en collaboration avec différents corps de police.
Ce livret met l’accent sur l’importance de détecter la fraude et de prendre les moyens pour décourager les personnes mal intentionnées. Il met aussi en évidence la nécessité de passer par-dessus la honte qu’on ressent de s’être « fait avoir », et de signaler tout acte frauduleux, tenté ou réussi. On y trouve les coordonnées des organismes à contacter pour recevoir de l’aide et dénoncer ces criminels avant qu’ils ne fassent d’autres victimes. Selon le type de fraude, on contacte entre autres son service de police local et/ou son institution financière et on prend soin de signaler l’incident auprès du Centre antifraude du Canada, au 1 888 495-8501.
Est-ce possible de boire un cocktail sans alcool, un mocktail, sans compromis au niveau du goût ? Absolument ! J’ai toujours dit que la qualité d’un cocktail passe par la qualité de ses ingrédients. Si vous y mettez un peu d’amour, vous pourrez savourer une boisson délicieuse et rafraîchissante tout en mettant la pédale douce sur l’alcool.
Premièrement, que ce soit avec ou sans alcool, un cocktail se doit d’être bien balancé. Pour ce faire, je vous suggère de vous munir d’un presse-agrumes et de quelques ingrédients. Afin de bien balancer le jus d’agrume, vous pouvez vous faire des sirops aromatisés ou utiliser d’autres agents édulcorants comme le miel ou le sirop d’érable.
Pour faire vos sirops maison, vous partirez toujours avec la même recette de base, celle du sirop simple. Faire dissoudre une part de sucre dans une part d’eau et le tour est joué. Le sirop se conserve plusieurs jours au réfrigérateur et peut s’aromatiser comme vous le désirez.
Si vous ajoutez une branche de vanille, vous obtiendrez un sirop de vanille. Remplacez cette dernière par des zestes d’agrumes pour en faire un sirop d’agrumes. Amusez-vous avec vos saveurs préférées.
Une question d’équilibre
C’est avec le jus d’agrume et votre sirop que vous pourrez équilibrer votre cocktail. Désirez-vous qu’il soit acidulé ou plus sucré ? Pour un cocktail bien balancé, vous pouvez commencer par ajouter une quantité égale de sirop et de jus d’agrume. Puis, en utilisant un allongeur, de l’eau gazéifiée par exemple, vous déterminerez si votre mocktail sera plus léger ou plus goûteux.
Il ne vous restera plus qu’à ajouter une touche de fraîcheur pour concocter un délicieux mocktail. Les petits fruits ajoutent une belle touche de couleur et certains légumes comme le concombre peuvent parfaitement l’agrémenter. Mais rien n’habille mieux une boisson qu’un peu d’herbes fraîches. Nous connaissons bien la menthe avec le mojito, mais le thym, le romarin et le basilic peuvent donner la touche finale à votre mocktail.
Maintenant que vous avez toutes ces infos, il vous sera possible de laisser aller votre imagination, au grand plaisir de vos papilles gustatives et de votre foie. Comme première expérience, je vous suggère une recette rafraîchissante, facile et rapide : une limonade au concombre et basilic, avec une belle pointe d’agrume.
Mocktail
1 oz de jus de lime
1 oz de sirop de citronnelle*
2 tranches de concombre
2 feuilles de basilic
4 oz d’eau gazéifiée
Verrerie : verre à vin
Garnitures : rondelle de concombre et feuille de basilic
Mettre les ingrédients dans un verre rempli de glace. Bien mélanger à l’aide d’une cuillère et garnir d’une rondelle de concombre et d’une feuille de basilic.
*Sirop de citronnelle : faire bouillir 250 ml d’eau, ajouter une tige de citronnelle et laisser infuser quelques minutes. Ajouter 250 ml de sucre et dissoudre complètement. Filtrer dans un contenant et laisser refroidir.
Il commence par une impression de brûlure, de piqûre, de pression, de chaud, de froid, une insensibilité, ou encore une sensation ressemblant au frottement d’une étiquette de vêtement. C’est idéalement dès ce moment-là, lorsque le zona a l’air inoffensif et qu’il n’y a pas encore de rougeur ou de boutons, qu’il faut le débusquer et s’y attaquer, en consultant son médecin.
En présence de la sensation que je viens de décrire, il faut taper « dermatome » dans Google et agrandir l’image qui correspond à la zone touchée, plus souvent le thorax ou le visage. Ensuite, en se servant du côté efface d’un crayon à mine, on suit le trajet qui correspond à la racine nerveuse. Si la sensation bizarre est perceptible le long de ce chemin mais pas plus haut ni plus bas, et sur un côté du corps seulement, c’est probablement parce que le zona est là.
Si la sensation est perçue sur le thorax, ne pas oublier d’examiner aussi le dos au même dermatome, car la douleur peut être pire à l’avant alors que l’éruption cutanée est déjà dans le dos.
De grâce, consultez !
C’est idéal de voir un médecin au plus tôt, au maximum trois jours après l’apparition des boutons, qui prennent la forme de vésicules remplies de liquide sur un fond de peau rouge. Plus tôt on contrôle la douleur et meilleures sont les chances d’éviter que la douleur neurologique ne s’installe à demeure dans notre mémoire et notre corps.
Car sans médicaments, la douleur neurologique peut être intense et durer des semaines, sinon des mois après la disparition des boutons, qui eux s’estompent après deux à quatre semaines.
Un médicament antiviral sera prescrit pour diminuer les symptômes et, contre la douleur, des analgésiques comme le Tylenol et/ou des anti-inflammatoires (ibuprofène, Naproxen) et, au besoin, des opioïdes comme la codéine. D’autres médicaments contre les douleurs neurologiques spécifiques pourront être ajoutés. Bref, on frappe fort, quitte à diminuer ensuite.
À propos des vaccins
Bonne nouvelle, si vous avez 50 ans et plus, vous pouvez prévenir le zona en vous faisant vacciner. C’est d’ailleurs recommandé par le Comité sur l’immunisation du Québec. Malheureusement, ceci sera à vos frais, à moins que vos assurances privées ne le couvrent. Parlez avec votre médecin de la pertinence de vous faire vacciner, selon votre état de santé.
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Zone zona
C’est quoi ? Une réactivation du virus de la varicelle (picote), qui reste en vie dans les ganglions situés près de la colonne vertébrale et ressortent sur le trajet du nerf sous forme de boutons.
Qui peut l’avoir ? Toutes les personnes qui ont eu la varicelle, en particulier celles qui ont plus de 60 ans ou qui ont un système immunitaire déjà affaibli par une autre maladie. Entre 20 et 25 % des gens vivront un épisode de zona dans leur vie. Les récidives sont très rares.
Source: Revue Virage
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J’ai reçu ce texte ce matin et je trouvais que tout y était…
Je porterai un masque 😷 en public et je me tiendrai à 2 mètres d’écart pas pour moi, mais pour VOUS. Je veux que vous sachiez que je suis assez éduquée pour savoir que je pourrais être asymptomatique et vous donner le virus. Non, je ne « vis pas dans la peur » du virus, je veux juste faire partie de la solution, pas du problème. Je n’ai pas l’impression que le « gouvernement me contrôle », je suis une adulte responsable, contribuant à la société et j’aimerais que les autres fasse la même chose. Le monde ne tourne pas autour de moi. Ce n’est pas tout à propos de moi et de mon confort. Si nous pouvions tous vivre avec la considération des autres à l’esprit, ce monde entier serait un bien meilleur endroit. Porter un masque et se tenir à 2 mètres d’écart ne me rend pas faible, effrayée, bête ou même « contrôlée”, ça me rend attentionnée. Imaginez juste un instant que quelqu’un proche et cher à vous tombe malade. N ‘hésitez pas à copier-coller. 🌈🌈🌈😷😷👏🌞.
La liberté pour moi est le respect d’autrui et de ses convictions!
Cette lettre d’un enseignant aux parents est en train de faire le tour du monde
Entre parents et enseignants, il y a parfois des distorsions concernant l’éducation. Cette enseignante américaine a souhaité envoyé une lettre aux parents pour qu’ils comprennent les enjeux de la scolarité. Elle a insisté sur le rôle des parents et sur leurs obligations. Partagez-vous son avis ?
Aujourd’hui, malgré des universités de renom, les étudiants américains sont loin derrière d’autres pays. Selon l’OCDE, les Etats-Unis arrivent à la 26e place sur 72. C’est Singapour qui prend la tête du classement PISA 2015.
Une enseignante à la retraite a écrit cette lettre au journal local de sa ville pour exprimer son opinion à ce sujet. Et bien honnêtement, la question se pose pour tous les pays dispensant une éducation publique.
La lettre écrite de Lisa Roberson « En tant qu’enseignant à la retraite, j’en ai marre des gens qui ne connaissent rien des écoles publiques ou qui ne sont jamais rentrés dans une salle de classe récemment et qui décide comment réformer notre système éducatif.
Les enseignants ne sont pas le problème! Les parents sont le problème! Ils n’enseignent pas à leurs enfants les manières, le respect ou même comment se comporter en société.
Les enfants viennent à l’école avec des chaussures qui coûtent plus chères que la tenue de l’enseignant, mais sans crayon ni papier. Qui les fournit? Les enseignants les fournissent souvent de leurs propres poches.
Lorsque vous regardez des écoles qui «échouent», regardez les parents et les élèves. Les parents viennent-ils aux réunions parentales? Est-ce qu’ils parlent régulièrement avec les enseignants? S’assurent-ils que leurs enfants sont préparés en ayant les fournitures nécessaires? S’assurent-ils que leurs enfants font leurs devoirs?
Ont-ils les numéros de téléphone de leur travail pour les joindre en cas de problème? Les élèves prennent-ils des notes en classe? Font-ils leurs devoirs? Les élèves écoutent-ils en classe ou sont-ils la source des perturbations en classe?
Lorsque vous êtes attentifs à ces facteurs, vous verrez que ce ne sont pas les écoles qui échouent mais les parents. Les enseignants ne peuvent pas faire leur travail et le travail des parents. Tant que les parents ne feront pas son travail, rien n’ira mieux! »
Les modèles éducatifs des parents Les parents attendent de l’école deux types d’enseignement. Ils sont cognitifs, c’est-à-dire l’apport de la connaissance de base, le développement de la curiosité intellectuelle, etc… Mais ils sont également de socialisation c’est-à-dire de l’apprentissage de la vie en communauté. Cependant l’école attend des parents une entière coopération pour la réussite des enfants qui leur sont confiés. Trois types de parents ont été identifiés dans l’étude menée par D. Gayet, ancien Maître de Conférence à l’Université de Paris 10 Nanterre. Les « Autoritaires » contrôlent les enseignements reçus et le travail effectué par l’enfant mais offrent peu d’affection. Les « Permissifs » sont très affectueux mais sont peu actifs dans la réussite scolaire de leurs enfants. Les « Négligents » en dernier lieu ne sont ni contrôleurs ni affectueux. Une quatrième catégorie a été ajoutée par d’autres études qui conclut à un parent modéré appelé « Authoritatifs » qui est affectueux mais aussi contrôleur dans un équilibre relatif. Certains parents laissent peu de place à l’individualité et aux désirs de l’enfant or c’est sa singularité qui fait sa force.
Pour l’école ces différents systèmes d’éducations parentales ont des impacts sur les institutions. Pour les Permissifs, il revient à l’école d’éduquer l’enfant et aucune initiative ou ingérence n’a lieu. A contrario, les Autoritaires sont très attentifs aux enseignements et sont de véritables parents-experts.
Les attentes de l’école Pour l’Education Nationale, ce qui prime c’est le dialogue. Les parents doivent communiquer avec les enfants sur leurs activités en classe. Ils témoignent alors d’un intérêt pour leur journée (en lien ou non avec la scolarité). Ils doivent également échanger sur les activités extrascolaires en les stimulants. L’avantage est double pour les écoles. Les enfants s’épanouissent et sont intellectuellement plus stimulés. En outre, l’absentéisme est contrôlé. Ainsi les risques d’échec scolaire sont diminués.
L’école souhaite aussi du dialogue entre l’institution et les parents via les réunions parents-professeurs ou via une participation aux conseils de classe, conseils d’administration, etc. Ces discussions permettent de garder en adéquation les attentes des parents et celles de l’institution ainsi que les nécessités propres à chaque enfant. Le milieu socioculturel a un impact sur la qualité de soutien des parents. Une étude en Suède avait été lancée intitulée « Lis-moi quelque chose, papa ! ». Elle avait pour but de stimuler la lecture parentale dans les milieux sociaux défavorisés. Ceci a permis d’augmenter les capacités de lecture et d’écriture des enfants mais aussi des parents. Cette démarche se développe également en France dès la maternelle. Elles ont des impacts positifs pour toutes les parties prenantes.
Le travail scolaire est une collaboration ne l’oublions pas pour le bien de nos enfants.
Objet:Alimentation PRENEZ LE TEMPS DE LIRE LE MESSAGE
Au rythme où sortent les bonnes nouvelles, ce produit unique pourrait devenir aussi incontournable dans le garde-manger que l’aspirine ou le tylénol. Il y a trois semaines à peine, le Dr Yves Desjardins révélait que le sirop d’érable contenait une concentration appréciable d’acide abscissique, reconnu pour stimuler le relâchement de l’insuline dans l’organisme, et qu’il possédait donc des propriétés thérapeutiques pour le diabète.
On apprend maintenant que le sirop d’érable renferme 13 nouveaux composants antioxydants reconnus pour leurs propriétés anticancer, antibactériennes et antidiabétiques. Le mérite de ce décryptage revient au chercheur américain Navindra Seeram, de l’Université du Rhode Island. Il a dévoilé ses résultats devant l’American Chemical Society, à San Francisco, le 21 mars dernier. Par ailleurs, des travaux publiés dans la récente édition du Journal of Medicinal Food révèlent que le sirop d’érable limiterait la prolifération de cellules cancéreuses de la prostate et des poumons et, dans une moindre mesure, du sein, du colon et du cerveau.
À cet égard, le sirop d’érable serait plus performant que le bleuet, le brocoli, la tomate et la carotte. Pas étonnant que la diététiste Marie Breton affirme que « les produits de l’érable sont bien plus que de simples agents sucrants. Grâce à leur teneur en vitamines, minéraux, antioxydants et autres composés bienfaisants, ils peuvent contribuer à une meilleure alimentation, surtout lorsqu’ils remplacent le sucre, la cassonade, le miel et le sirop de maïs
Depuis plus d’un an, des membres du Chez-Nous et des HLM pour aînés du quartier travaillent avec l’organisme Mise au jeu pour produire un théâtre-forum afin de sensibiliser les aînés à l’intimidation et d’offrir des pistes de solution pour la déjouer.
Le SPVM, Tel-écoute/tel-aînés, Tandem et Someone, ont offert une formation sur mesure aux bénévoles du Chez-Nous et des HLM aînés du quartier. Ce sont plus de 40 aînés qui ont développé des compétences sur la question et qui, dorénavant, sont en mesure de détecter les comportements qui sont considérés comme étant intimidants.
Le forum vous permettra de saisir l’ampleur du travail réalisé par les aînés afin de développer des attitudes et des comportements socialement inclusifs et d’adopter un mode de communication non violente.
Ce forum sur le thème « Contrer l’intimidation entre les aînés », aura lieu le mercredi 29 mars 2017 au Chez-Nous de Mercier-Est, 7958, rue Hochelaga, Montréal. Veuillez confirmer votre présence en composant le 514 354-5131 entre 9 h et 16 h.