Archives d’Auteur: leptitjournaldunet

Hépatite C: se faire dépister….

Maladie sournoise et silencieuse, l’hépatite C peut passer sous le radar pendant des décennies avant de nous conduire à l’hôpital pour des problèmes sérieux, dont la cirrhose et le cancer du foie. Et puisque les données disponibles montrent une fréquence plus élevée des cas rapportés chez les baby-boomers québécois, demander un test de dépistage est un geste santé sensé.

« En mars dernier, l’Institut national de santé publique du Québec a publié un avis recommandant de procéder à une offre de dépistage non systématique chez les personnes nées entre 1950 et 1969, une fois à vie », indique Dre Claire Wartelle-Bladou, hépatologue au Service de médecine des toxicomanies du NCHUM. Elle précise que cet avis ne deviendra une recommandation que s’il est entériné par le ministère de la Santé et des Services sociaux.

Si un dépistage systématique n’a pas été mis de l’avant dans cet avis, comme c’est le cas pour le cancer du sein chez les femmes de 50-69 ans par exemple, c’est en raison de l’insuffisance de données probantes sur la prévalence de l’hépatite C par groupe d’âge au Québec.

Toutefois, les États-Unis ont été le premier pays au monde à recommander, en 2012, un test de dépistage unique chez les personnes nées entre 1945 et 1965, qui regroupent dans ce pays 75 % des cas d’hépatite C.

Des facteurs de risque multiples

Dans ce contexte, même en l’absence de facteur de risque connu pour l’hépatite C, il est donc opportun pour les baby-boomers de demander à leur médecin un dépistage par prise de sang, lors d’un examen périodique. C’est d’autant plus vrai qu’on peut se croire à l’abri de cette maladie, alors qu’elle fait déjà des ravages depuis des années, voire des décennies, sans aucun symptôme.

On peut avoir contracté cette maladie après avoir consommé de la drogue par injection ou inhalation, ne serait-ce qu’une seule fois, ou encore lors d’une chirurgie ayant nécessité une transfusion sanguine, en se faisant tatouer ou percer dans un contexte non stérile, etc. Le fait d’être né dans un pays où la prévalence de l’hépatite C est élevée constitue un autre facteur de risque majeur.

Un traitement efficace et accessible

Autre raison de se faire dépister : dans 10 à 40 % des cas, les porteurs du virus vont évoluer vers une cirrhose avec un risque accru de cancer du foie. De plus, la cirrhose due à l’hépatite C est la première cause de greffe du foie au Canada.

Autre argument massue en faveur du dépistage : il y a eu des progrès spectaculaires en matière de traitement. « Aujourd’hui, on guérit 95 % des gens avec un comprimé par jour pendant trois mois », fait valoir Dre Wartelle-Bladou.

De plus, alors que l’accès à ce traitement était auparavant restreint, il est disponible pour tous depuis le 1er mars dernier. Alors, êtes-vous convaincu de demander le test ?

Cet article est rendu possible grâce à un don à visée éducative de Gilead Sciences Canada inc.

Soure: VIRAGE-FADOQ

—————————————————————————————————————

Par Sophie Gagnon

Qu’y a-t-il de nouveau pour ceux qui voyagent à bord de leur véhicule récréatif (VR) ? Un réseau permettant de s’éloigner des campings bondés et des stationnements de Walmart, pour mieux s’imprégner des richesses de notre terroir.

La jeune entreprise Terroir en VR offre un réseau de stationnements chez des producteurs du terroir principalement au Québec, mais aussi en Ontario, dans les Maritimes, et bientôt dans le Canada tout entier. Les voyageurs qui se déplacent dans tous types de VR autonomes (électricité, eau fraîche et eaux usées) peuvent s’arrêter pour une durée maximum de 24 heures dans un vignoble, un verger, une ferme d’élevage ou autre, y passer des moments relaxants, profiter d’un contact authentique avec des producteurs avides de partager leur passion et déguster les délicieux résultats de leur savoir-faire.

Un abonnement, des nuitées illimitées

Si cette forme d’agrotourisme vous intéresse, la formule est simple : vous payez 105 $ + taxes, et vous pouvez ensuite réserver des nuitées chez autant de producteurs que vous le désirez, sans frais supplémentaires, pendant un an à compter de la date de l’abonnement. Les espaces de stationnement sont disponibles du 1er mai au 31 octobre.

Quant à eux, les producteurs du terroir amis du VR s’inscrivent gratuitement. Ils mettent à la disposition des abonnés ayant réservé quelques espaces de stationnement pour une halte de 24 heures.

« Notre réseau compte actuellement plus de 170 destinations. Un tel service existe ailleurs dans le monde, notamment en Nouvelle-Zélande et en France. La particularité de Terroir en VR est sa plateforme conviviale de réservation en ligne, avec confirmation instantanée », indique Karine Morin, vice-présidente communications et services à la clientèle.

Cette entreprise est nouvellement partenaire du Réseau FADOQ et offre un rabais aux membres. Ça allait de soi, puisque 80 % des abonnés de Terroir en VR ont plus de 50 ans !

Pour vous abonner, puis monter un itinéraire par le biais de la carte affichant les producteurs participants, visitez le terroirenvr.ca

Source VIRAGE-FADOQ

———————————————————————————————————–

La gériatrie sociale, un bien nécessaire

On connaît la pédiatrie sociale, dont la figure de proue est le Dr Gilles Julien. À l’autre bout de la vie, une approche semblable, la gériatrie sociale, est tenue à bout de bras par Dr Stéphane Lemire et la Fondation AGES, créée en 2013 par le gériatre. Après une première expérience positive à Québec, son objectif est le démarrage de 10 centres à travers la province.

« Les principes fondateurs de la gériatrie sociale sont la proximité de l’offre de services et de soins, la mise à contribution de l’ensemble de l’écosystème communautaire et le respect des droits et des choix éclairés des aînés », résume ce médecin visionnaire, qui a eu l’audace de choisir une pratique à contre-courant, plus humaine et, à son avis, plus utile.

Dr Lemire parle abondamment d’autonomie et de respect des aînés, d’amélioration de leur qualité de vie aussi. Convaincu que la gériatrie peut se pratiquer dans la communauté, il a laissé son très lucratif job de gériatre hospitalier pour roder sa nouvelle approche, qui favorise une intervention rapide, directement dans le milieu de vie des aînés.

« Le maintien à domicile est sur toutes les lèvres. Mais ça ne tient pas la route s’il n’y a pas d’écosystème autour des aînés pour prévenir la perte d’autonomie et la détecter dès qu’elle se manifeste chez cette clientèle ayant des problématiques spécifiques. En agissant tôt, on évite que les aînés s’affaiblissent et on sauve de coûteuses hospitalisations, ce qui est très positif. En effet, les aînés passent habituellement beaucoup de temps à l’hôpital et en sortent souvent amochés et déboussolés. De plus, ils se rétablissent plus lentement que les autres tranches d’âge », note le gériatre.

La clé : l’écosystème

Pour mieux expliquer la notion capitale d’écosystème, Dr Lemire et le directeur de la Fondation AGES, Élie Belley-Pelletier, reviennent sur le véritable laboratoire de gériatrie sociale qui a eu cours là même où a lieu l’entrevue, le Service amical Basse-Ville. Ce jour-là, il s’y déroule un spectacle amateur suivi de la prestation de nul autre que Patrick Zabé, l’une des missions de cet organisme communautaire étant l’organisation d’activités permettant aux aînés de mettre leur solitude sur pause.

De 2014 à janvier 2017, la Fondation AGES avait un local au Service amical Basse-Ville, qui offre différents services à 2 500 aînés vulnérables ou en perte d’autonomie. L’écosystème si cher au Dr Lemire était entre autres composé des préposés à l’aide domestique à domicile, des livreurs de la popote roulante et autres accompagnants de divers horizons qui côtoyaient ces aînés à leur domicile au fil des semaines. Formés pour devenir les antennes de Dr Lemire, ils levaient le drapeau rouge dès qu’ils constataient que tel ou tel aîné semblait aller moins bien qu’à l’accoutumée. Le gériatre faisait alors une visite à domicile.

L’intervention se faisait donc en amont, alors que l’aîné n’était pas encore trop mal en point et que de simples mesures suffisaient souvent à lui redonner son autonomie. La visite se déroulait dans le logement de l’aîné et en présence du proche aidant, lui aussi partie prenante de ce fameux écosystème communautaire dans lequel on multiplie les liens entre les intervenants, incluant le CLSC, la pharmacie du coin, etc.

Un modèle à déployer

Ce qui semble couler de source constituait toutefois une petite révolution dans les pratiques, si bien que plusieurs obstacles de nature administrative ont conduit à la fin de l’expérience. « Nous avons frappé un mur, notamment du côté de l’ex-ministre Barrette qui, loin de nous épauler, voyait dans la gériatrie sociale une utilisation inefficace des ressources », se souvient Élie Belley-Pelletier.

Depuis ce temps, Dr Lemire et lui ont peaufiné le modèle, en plus de travailler à le rendre opérationnel et transposable ailleurs, dans d’autres communautés, avec une équipe composée de professionnels de la santé et d’un médecin. « En faisant travailler ensemble le milieu de la santé et les structures communautaires existantes, on aura un impact significatif sur la qualité de vie des aînés », conclut Dr Lemire, plus déterminé que jamais à voir la gériatrie sociale s’étendre partout au Québec.

***

C’est pour quand ?

Selon la Fondation AGES, le démarrage de 10 centres de gériatrie sociale un peu partout au Québec coûterait 4 M $ par année, une goutte dans l’océan des dépenses en santé. De plus, cela n’impliquerait pas une autre réforme du système de santé ni des investissements massifs en infrastructures.

Lors de la dernière campagne électorale, le gériatre Stéphane Lemire et Élie Belley-Pelletier, directeur de la Fondation AGES, ont rencontré tous les partis et tous se sont montrés favorables à la gériatrie sociale. La CAQ, élue majoritairement depuis, avait même inscrit ceci dans sa plateforme électorale touchant les aînés : « […] la mise en place de mesures de gériatrie sociale pour améliorer leur qualité de vie. »

Aussi, quelque 150 participants étaient présents le 25 octobre dernier, à Québec, au 2e Forum sur la gériatrie sociale, au cours duquel a été proposé le prototype de centre de gériatrie sociale. « Nous avons senti que les communautés sont prêtes à se mobiliser pour développer cette approche », indique M. Belley-Pelletier.

Le premier geste à poser par le gouvernement est la reconnaissance de la pratique de la gériatrie sociale en communauté, au même titre que la pédiatrie sociale, de sorte que les services médicaux soient couverts par la Régie de l’assurance maladie du Québec.

En attendant le coup de pouce politique qui pourrait tout mettre en branle, la Fondation AGES compte sur des donateurs privés pour poursuivre sa mission : fondationages.org, 581 700-7068.

Source: VIRAGE-FADOQ

 

——————————————————————————————————————–

Tiré de VIRAGE-Nov 2017 FADOQ

La seule chose inévitable dans la vie est la mort ! Et qui dit mort, dit nécessairement règlement de succession. Bien qu’il soit très pénible de perdre un être cher, il vous faudra aussi passer au travers des étapes du règlement de la succession du défunt, dont certaines permettent d’octroyer une protection accrue aux héritiers. Mieux vaut ne pas passer à côté, dans l’intérêt de tous !

L’inventaire : primordial

En effet, la loi oblige le liquidateur à faire un inventaire des biens du défunt, indiquant l’actif et le passif de la personne à la date de son décès. Ce document est important pour la protection des héritiers.

L’inventaire permet aux héritiers de connaître l’état du patrimoine du défunt avant d’accepter la succession. Les successibles ont alors le loisir de renoncer à la succession du défunt afin de ne pas être responsables du passif de ce dernier dans un cas d’insolvabilité.

Toutefois, la renonciation n’est possible que si vous n’avez pas commis de gestes faisant en sorte que vous soyez réputé avoir accepté la succession, en payant certaines des dettes du défunt, par exemple, ou en vous appropriant certains de ses biens.

Il est donc très important de procéder à la confection de l’inventaire de la succession avant même de commencer à payer des comptes ou à rapatrier des sommes d’argent car dans le cas contraire, vous ne bénéficierez plus de la protection accordée par la loi.

Cet inventaire protège également les héritiers, jusqu’à un certain point, des dettes pouvant faire surface après le règlement de la succession. En effet, une fois l’inventaire expédié aux héritiers et l’avis de clôture publié aux endroits appropriés, les héritiers ne sont pas responsables des dettes du défunt au-delà de ce qu’ils ont reçu en héritage, en autant qu’ils respectent également les autres étapes du règlement d’une succession prévues au Code civil du Québec.

Des règles à respecter

De ce fait, si vous avez reçu une somme de 10 000 $ à la suite du décès d’un proche et que six mois après le règlement de la succession, un créancier se manifeste avec une dette valide de 50 000 $, vous devrez simplement remettre votre héritage de 10 000 $, sans être responsable des 40 000 $ excédentaires, à condition que les règles relatives au règlement de succession aient été respectées à la lettre.

Cette précaution est d’autant plus importante si la succession vend la résidence du défunt avec garantie légale ou si le défunt lui-même a déjà disposé d’une résidence de son vivant avec garantie légale, puisque le recours pour vice caché est opposable aux héritiers.

Par ailleurs, la vente sans garantie légale et aux risques et périls de l’acheteur permet d’éviter de bien mauvaises surprises aux héritiers dans certains cas.

La meilleure solution : bien s’entourer et obtenir les conseils adéquats.

La solitude mine la santé psychologique et physique

Isabelle Paré

26 janvier 2018

Le Royaume-Uni vient de créer un ministère consacré à la solitude, une réalité aujourd’hui considérée comme un problème de santé publique aussi criant que le tabagisme ou l’alcoolisme. Gros plan sur un fléau qui touche aussi le Québec.

La première ministre de Grande-Bretagne, Theresa May, a surpris l’opinion publique en désignant sa ministre des Sports, Tracey Crouch, titulaire d’un tout nouveau ministère de la Solitude. Le gouvernement britannique veut prendre à bras-le-corps une réalité qui touche neuf millions de sujets de la Reine et fait peser un très lourd fardeau sur le système de santé.

C’est que plusieurs études ont apporté ces dernières années de l’eau au moulin de ceux qui affirment que la solitude ne mine pas que la santé mentale de ceux qui en souffrent, mais aussi leur condition physique.

Au Royaume-Uni, de récentes recherches faites par Age UK, un organisme d’aide et de recherche sur le vieillissement, ont révélé que la solitude frappait 15 % des personnes âgées, et qu’au moins 200 000 aînés n’avaient pas parlé à des proches ou des amis depuis plus d’un mois. Interrogé au lendemain de l’entrée en poste de la nouvelle ministre, le directeur général de Age UK, Mark Robinson, a résumé l’ampleur du problème en affirmant que la solitude « est plus mauvaise que 15 cigarettes par jour ».

C’est aussi ce que démontrent plusieurs études récentes confirmant les effets délétères de l’isolement sur l’espérance de vie. Dès la fin des années 1980, des liens avaient été tracés entre la qualité de la vie sociale des individus et la longévité, mais une méta-analyse effectuée en 2015 de 148 études réalisées sur plus de 300 000 personnes a définitivement hissé l’isolement dans le lot des facteurs de risque « potentiellement mortels ». L’étude conclut que le déficit amical serait aussi toxique pour l’être humain que le tabagisme ou l’alcoolisme. Pire, vivre isolé serait plus dommageable pour la santé que le manque d’activité physique ou l’obésité !

« Toutes ces études le prouvent : l’interaction sociale est la pierre angulaire de l’espérance de vie et a plus d’impact sur la santé que la génétique, l’argent, le type d’emploi ou même le taux de cholestérol », affirme le Dr Martin Juneau, cardiologue et directeur de la prévention à l’Institut de cardiologie. Après avoir suivi des milliers d’individus depuis 75 ans, l’Université de Harvard conclut elle aussi que les liens sociaux sont de loin les facteurs les plus prédictifs de la santé d’une personne, ajoute ce médecin. Somme toute, l’isolement double le risque de mort prématurée. En plus des effets psychologiques, la carence de contacts humains, ou leur piètre qualité, entraîne un état de stress qui perturbe les processus physiologiques, notamment la pression sanguine et le taux de cortisol dans le sang. Autant de facteurs qui endommagent les vaisseaux et le coeur, explique le cardiologue.

« Les études réalisées sur les “zones” où vivent le plus de centenaires dans le monde démontrent que ces personnes sont souvent très bien entourées. C’est le cas à Okinawa, au Japon, où une tradition ancestrale oblige les femmes âgées à rencontrer cinq amies par jour. Ces habitudes de vie, combinées à d’autres, ont un impact majeur sur l’espérance de vie », dit-il.

« Comme médecin, je le constate aussi chez mes patients qui ont eu une crise cardiaque il y a 25 ans. Ceux qui ont toujours une bonne relation de couple, de belles relations avec leurs enfants ou leurs amis s’en tirent beaucoup mieux aujourd’hui que ceux qui sont seuls », note le Dr Juneau.

Malheureusement, dit-il, aucun programme du ministère de la Santé ni aucun des budgets des hôpitaux ne s’intéressent à cette réalité. Malgré l’accumulation des preuves scientifiques, les sommes investies dans la prévention des facteurs de risque associés à la mort prématurée demeurent dérisoires.

Briser l’isolement

Le nombre de personnes vivant seules, propulsé par le vieillissement de la population et le divorce, est à la hausse au Québec, où un ménage sur trois se compose désormais d’une personne seule, selon le Conseil des aînés. Chiffrer l’isolement social est par contre une tâche complexe, puisque des gens vivant seuls peuvent jouir d’une vie sociale riche, alors que d’autres, bien qu’entourés, souffrent de solitude, explique le professeur André Tourigny, médecin-conseil à l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ).

« J’ai l’impression que notre situation se compare à celle du Royaume-Uni, avec environ 15 % de personnes isolées. Si la solitude est un problème influencé par des facteurs personnels comme l’état de santé, le revenu, la présence ou pas de famille, elle dépend aussi de facteurs externes qu’on peut influencer, comme l’aménagement urbain ou l’accès aux transports », affirme cet expert, aussi codirecteur de l’Institut sur le vieillissement et la participation sociale des aînés de l’Université Laval.

La réponse à ce fléau trouve déjà des échos ici au Québec, où des projets inspirés des guides de pratique britanniques ont été lancés dans deux secteurs de la Vieille Capitale par le Collectif aînés IS (isolement social). Quatre organismes bénévoles ont obtenu 1,6 million l’an dernier du gouvernement fédéral pour dépêcher des sentinelles dans les centres commerciaux, les Tim Hortons et les McDonald’s pour dépister les aînés à risque d’être isolés. Plus de 9 millions ont aussi été investis depuis 2012 par le Secrétariat aux aînés pour financer des projets visant à rejoindre les aînés considérés comme vulnérables.

Les examens médicaux à faire à 30, 40 et 50 ans

 

Les examens médicaux permettent de faire le point de temps en temps sur son état de santé et de déceler rapidement des problèmes qui peuvent parfois être très sérieux.

Il est recommandé à un adulte en bonne santé de visiter de temps en temps le médecin généraliste pour un examen usuel et le dentiste au moins une fois l’an.

Mais selon l’âge, différents points sont à surveiller, voici notre guide des différents tests médicaux qui pourraient vous sauver à 30, 40 et 50 ans.

À 30 ans

  • Dépistage des hépatites B, C et du I.H une fois par an si on est à risque.
  • Auto-examen de la peau 2 à 3 fois par an pour identifier d’éventuelles modifications des grains de beauté et nouvelles excroissances, afin de prévenir le cancer de la peau. Les personnes à risque peuvent faire examiner leurs grains de beauté 1 fois par an chez un dermatologue.
  • Pour les femmes, un examen gynécologique annuel, un frottis tous les 2 ans pour dépister le cancer du col de l’utérus et une mammographie annuelle s’il y a eu des cas de cancer du sein dans la famille.

À 40 ans

  • Mesurer le taux de cholestérol et la glycémie tous les 2 ou 3 ans à l’aide d’une prise de sang afin de détecter précocement le diabète de type 2.
  • Dépistage de l’hypertension à l’aide d’un tensiomètre chez le médecin généraliste au moins une fois par an.
  • Dépistage du glaucome à partir de 45 ans et tous les 1 ou 2 ans.

À 50 ans

  • Dépistage du cancer colorectal tous les 2 ans. Lorsqu’il est détecté tôt, ce cancer se traite bien. L’examen consiste en un hémocculte multiphasique qui permet de déceler la présence de sang dans les selles ou une coloscopie à la demande du médecin en cas de doute.
  • Dépistage d’une DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) et des autres troubles visuels par examen ophtalmologique à partir de 50 ans tous les 2 ans.
  • Faire évaluer ses facteurs de risque d’ostéoporose, responsable de plus de 80 % des fractures chez les plus de 50 ans, dont celle de la hanche qui peut entraîner une perte d’autonomie importante.
  • Pour les femmes, mammographie à partir de 45-50 ans tous les 2 ans ou tous les ans si cas de cancer du sein dans la famille.
  • Pour les hommes, dépistage du cancer de la prostate tous les ans à l’aide d’une prise de sang, qui va estimer la concentration de l’antigène prostatique spécifique, et d’un toucher rectal.
  • Source: Passeport Santé

Sauver une vie

Les 5 gestes qui sauvent à apprendre par cœur

Les décès par mort subite représentent environ 1/5ème de la totalité des décès survenant chaque année en France et au Canada. La plupart du temps, ils sont liés à un arrêt cardio-respiratoire, c’est-à-dire une suppression de toute activité mécanique efficace du cÅ“ur. Sans une prise en charge rapide, les chances de survie à un arrêt cardiaque sont très minces. Voilà pourquoi il est important de connaître les 5 gestes à adopter si vous êtes le témoin d’un tel accident…

 

Apprécier l’état de la victime

La première chose à faire quand on est le témoin d’un accident qui fait penser à un arrêt cardiaque, est de prévenir le sur-accident : il faut s’assurer que la victime est en sécurité, en lieu sûr. Il s’agit ensuite d’apprécier l’état de conscience de la victime, en posant des questions simples comme « Vous m’entendez ? » ou « Pouvez-vous me serrer la main ? ».

Si la victime ne répond pas ou qu’elle ne réagit pas, il n’y a plus une minute à perdre : elle est inconsciente. Il s’agit du premier signe de l’arrêt cardio-respiratoire. Si le témoin de l’accident est seul, il est important d’appeler de l’aide de vive voix. Si le lieu est particulièrement isolé ou que personne d’autre ne se trouve dans les parages, il faut d’abord assurer la liberté des voies aériennes avant d’alerter les secours. Pour cela, desserrer ou dégrafer tout ce qui peut gêner la ventilation (cravate, ceinture, col trop serré…) est indispensable. Il importe également de basculer doucement la tête de la victime en arrière en élevant le menton, de manière à éviter que sa langue ne tombe au fond de la gorge et obstrue les voies aériennes.

Assurez-vous ensuite de l’absence de respiration de la victime : pour cela, penchez-vous sur la victime au niveau de sa bouche et son nez. Votre joue doit repérer le flux d’air expiré par le nez et la bouche, tandis que votre oreille doit détecter les bruits normaux ou anormaux de la ventilation (un sifflement ou un ronflement par exemple). Attention, des inspirations agoniques espacées (qu’on appelle des « gasps ») ne doivent pas être considérées comme un signe de la respiration : elles n’ont aucune efficacité. Enfin, observez également si le ventre ou la poitrine se soulève sous l’effet de la respiration. En tout et pour tout, la recherche ne doit pas excéder 10 secondes. Rappelez-vous qu’il n’y a pas la moindre seconde à perdre !

Le saviez-vous ?
Trois minutes après l’arrêt cardiaque, des lésions cérébrales apparaissent déjà si aucun geste de secours n’est réalisé. Elles deviennent progressivement irréversibles et rendent les chances de survie pratiquement nulles au-delà de la 8ème minute.

Si la victime ne montre pas de signes de respiration, appelez immédiatement une équipe de secours médicalisée à l’aide d’un téléphone. Indiquez dans le message d’alerte que vous êtes avec une victime en arrêt respiratoire, en précisant l’emplacement exact où vous vous trouvez. Le message doit être très simple et très bref. Si un autre témoin vous a rejoint au moment où vous étiez en train d’apprécier l’état de la victime, l’un des deux prévient les secours tandis que l’autre poursuit les manœuvres de réanimation. Si la victime est un enfant, une personne intoxiquée ou noyée, il convient d’appeler les secours après une minute de réanimation cardio-pulmonaire .

Vous avez donné l’alerte, il s’agit maintenant de pratiquer la respiration artificielle, plus communément appelé le « bouche-à-bouche ». Assurez-vous une nouvelle fois de l’absence de respiration, puis maintenez la tête de la victime en arrière et le menton en avant.

Pincez la partie souple du nez entre le pouce et l’index et ouvrez ensuite la bouche de la victime en maintenant le menton vers l’avant. Placez vos lèvres autour de la bouche de la victime puis soufflez progressivement pendant 1 à 2 secondes jusqu’à observer le début du soulèvement de la poitrine. Maintenir la tête de la victime en arrière, et écartez-vous de la victime pour regarder sa poitrine s’abaisser à nouveau. Puis prenez une autre inspiration et renouvelez la séquence pour obtenir deux insufflations efficaces.

Cette pratique est indispensable pour faire redémarrer une oxygénation de la victime. Si l’arrêt de la ventilation est récent, l’insufflation d’air dans les poumons peut suffire à la faire repartir. Il n’est pas nécessaire d’insuffler un volume d’air supérieur à celui qui correspond au début du soulèvement de la poitrine.

Immédiatement après, essayez de rechercher une réaction de la victime aux insufflations. Cela peut-être des mouvements, une toux, ou une même une reprise de la respiration. Si vous ne percevez rien, contrôlez alors le pouls carotidien : son absence doit précipiter les compressions thoraciques.

Réaliser des compressions thoraciques

La victime n’a pas réagi à vos premières insufflations et vous avez perçu une absence de signe de circulation. Il est temps à présent de réaliser des compressions thoraciques. Pour cela, placez-vous à genoux au plus près de la victime et procédez à ces différentes étapes :

Déterminer la zone d’appui. Repérez le creux situé en haut du sternum (à la base du cou) et placez-y l’extrémité de votre majeur. Placez ensuite le majeur de l’autre main à l’endroit du sternum où les côtes se rejoignent. La zone d’appui se situe juste au niveau des deux pouces.

Appuyer le « talon » d’une main (c’est-à-dire le bas de la paume) sur la zone d’appui. L’appui doit toujours se faire sur le sternum, au niveau de la ligne médiane et non sur les côtes.

Placer l’autre main au-dessus de la première, si possible en entrecroisant les doigts des deux mains.

Réaliser des compressions thoraciques de 4 à 5 cm en restant bien vertical. Il est important de ne pas fléchir les coudes, de tendre les avant-bras dans le prolongement des bras, et de bien garder les mains en place entre chaque appui. De plus, la durée de compression doit être identique à celle du relâchement de la pression thoracique. Intercalez alors 2 insufflations toutes les 15 compressions thoraciques. Le passage des compressions aux insufflations doit être aussi rapide que possible.

La compression régulière du thorax peut assurer 20 à 30 % du débit cardiaque normal, ce qui est suffisant pour garder en vie le cerveau de la victime le temps de la mise en œuvre du choc électrique externe.

Utiliser un défibrillateur semi-automatique

Environ deux minutes après le début de la ventilation artificielle (soit environ 5 minutes après la découverte de la victime), le sauveteur doit passer à l’utilisation d’un défibrillateur cardiaque, s’il en a la possibilité. Dans le cas contraire, il continuera l’alternance des insufflations et des compressions cardiaques jusqu’à l’arrivée des secours.

Le défibrillateur cardiaque est un appareil capable de délivrer une quantité d’énergie d’origine électrique au travers du thorax de manière à resynchroniser l’activité cardiaque. S’il est semi-automatique, il est capable d’analyser l’activité électrique du cœur de la victime, de reconnaître un trouble cardiaque grave, de se charger automatiquement puis d’indiquer la délivrance du choc à son utilisateur.

Il s’agit d’un outil très fiable doté d’une voix synthétique qui guide, pas à pas, le sauveteur dans les différentes étapes de son utilisation. En France, depuis 2007, toute personne est habilitée à les utiliser, même si elle n’a pas reçu de formation au préalable. On en trouve de plus en plus dans les lieux recevant du public comme les supermarchés, les trains, les aéroports, les lieux de travail.

Source: Passeport Santé

Hier soir, c’est au théâtre Paradoxe à Ville-Émard que Clémence Desrochers a choisi pour mettre un terme à sa grande carrière d’artiste québécoise, et ce après 60 ans sur scène. C’est devant une salle comble de personnes bénévoles récompensées de leur travail par l’arrondissement sud-ouest de Montréal qu’elle a donné son dernier spectacle. ‘’C’est mon dernier spectacle ce soir et vous allez en avoir beaucoup ‘’ dit-elle. Accompagnée de Marie-Michèle Desrosiers et ses musiciens, elle a interprété plusieurs de ses compositions en chansons et monologues. Quelle artiste. Elle a, une dernière fois, enchanté l’auditoire qui a magnifiquement réagi lors de ses interventions que seule elle sait faire. Les personnes présentes lui ont démontré leur amour pour Clémence. CKVL FM était sur les lieux. Je vous présente quelques photos de cette soirée. Merci, Clémence, pour toutes ces années avec tes poèmes, tes chansons et tes monologues.
Jean Claude Duclos, animateur au  » Carrefour des aînés »
Photos: Jean Claude Duclos

Ce diaporama nécessite JavaScript.

Noix: bon ou pas pour ma santé?

On entend souvent dire que les noix font engraisser, que ce n’est «pas bon pour le cholestérol». Doit-on limiter notre consommation de noix? Ces aliments ont-ils des effets bénéfiques?

Avec les nouvelles compréhensions de l’alimentation, on s’aperçoit que plusieurs principes nutritionnels admis comme vérités ne sont pas aussi solides qu’on le croyait.

Par exemple, on nous a longtemps dit que manger gras était dangereux pour la santé, que ça causait les maladies cardiaques. Pourtant, à part pour les gras trans industriels reconnus comme étant néfastes, la preuve n’est pas très forte. Voici un exemple qui montre, à l’inverse, les bienfaits d’aliments gras: les noix.

Consommation de noix et risque de décès

Malgré leur contenu en gras, ou peut-être à cause de celui-ci, les noix sont de plus en plus reconnues comme des aliments santé. En 2013, le New England Journal of Medicine publiait une grande enquête sur plus de 80 000 personnes. Les chercheurs ont compilé les données de Nurses’ Health Study de 1980 à 2010 et celles de Health Professionals Follow-up Study de 1986 à 2010. Dans ces enquêtes, les participants ont rempli des questionnaires à propos de leurs différentes habitudes, notamment l’alimentation.

Les données révèlent que les personnes qui mangent des noix ont moins de risque de décès. On peut donc présumer qu’ils sont en meilleure santé. Sur une période de 30 ans, par rapport à ceux qui n’en mangent pas, les personnes qui consomment des noix (p<0,001 pour la tendance): 1

  • 1 fois par semaine ont 11% de réduction du risque de décès (HR 0,89 [IC 95%: 0,86 à 0,93]);
  • 2 à 4 fois par semaine, 13% de réduction (HR 0,87 [IC 95%: 0,83 à 0,90]);
  • 7 fois par semaine ou plus, 20% de réduction (HR 0,80 [IC 95%: 0,73 à 0,86]).

Risque de décès pour des maladies spécifiques

En 2015, les résultats d’une autre grande enquête (effectuée aux Pays Bas sur plus de 120 000 personnes entre 1986 et 1996) ont montré les mêmes réductions générales. Ces données révèlent également que la consommation de 10g ou plus de noix par jour, incluant les arachides et le beurre d’arachide, diminue le risque de décès de certaines maladies spécifiques de: 2

  • 44% pour les maladies neurodégénératives;
  • 17% pour les maladies cardiovasculaires;
  • 15% pour les cancers;
  • 29% pour les maladies respiratoires.

Mangez-en plus!

Tout récemment, en 2016, une méta-analyse (combinaison d’études et ré-analyses de leurs données) confirme ces résultats. Pour chaque augmentation de 28g de noix par jour, les risques de décès diminuent de: 3

  • 19% pour les maladies coronaires (0,71 [IC 95%: 0,63 à 0,80]),
  • 7% pour les AVC (0,93 [IC 95%: 0,83 à 1,05]),
  • 15% pour les cancers (0,85 [IC 95%: 0,76 à 0,94]),
  • 22% pour la mortalité toute cause (0,78 [IC 95%: 0,72 à 0,84]),
  • 52% pour les maladies respiratoires (0,48 [IC 95%: 0,26 à 0,89]),
  • 29% pour le diabète (0,61 [IC 95%: 0,43 à 0,88]),
  • 35% pour les maladies neurodégénératives (0,65 [IC 95%: 0,40 à 1,08]),
  • 75% pour les infections (0,25 [IC 95%: 0,07 à 0,85])
  • 67% pour les maladies du rein (0,27 [IC 95%: 0,04 à 1,91]).

Ces statistiques sont-elles précises? Sincèrement, je n’en sais rien. S’appliquent-elles à vous, comme individu? Plus ou moins, selon de nombreux facteurs (votre alimentation, votre condition de santé, etc.). Par contre, ce que ces études me disent, c’est qu’il faut arrêter de s’empêcher de manger des noix, n’importe quelles noix, parce que c’est gras! La consommation de noix est bénéfique, c’est un atout de plus pour rester en santé.

Bon appétit!

Jean Yves Dionne

Journée du 9 avril 1917, Vimy, France

C’est dans le cadre du centième anniversaire des célébrations de la Journée du 9 avril 1917 à Vimy, en France, que Madame Alexandra Mendes, députée fédérale de la circonscription de Brossard-St-Lambert a invité à ses bureaux les vétérans de la Légion canadienne filiale 215 de Brossard afin de souligner cet événement et en leur remettant une épinglette commémorative de la victoire historique du Canada à la Crête-de-Vimy. Elle a souligné le courage des 3598 Canadiens qui ont donné leur vie pour la paix ainsi que ceux qui aujourd’hui continuent de la protéger. Ce fut une très grande rencontre amicale et joviale marquée de reconnaissance et de gratitude. Plusieurs frères d’armes de la guerre de Corée étaient du nombre des invités. Merci, Madame Mendes de cette reconnaissance.

Journée nationale des gardiens de la paix.

Journée nationale des Gardiens de la paix historique. (bref historique) :
La Journée nationale des Gardiens de la paix a été établie au Canada en 2008. Elle offre aux Canadiens et aux Canadiennes l’occasion d’exprimer leur fierté et leur gratitude à l’égard du personnel des Forces armées canadiennes, de la Gendarmerie royale du Canada, et des services de police provinciaux et municipaux, ainsi qu’aux diplomates et civils canadiens qui ont travaillé en appui aux opérations internationales de paix et de sécurité.
Au cours des six dernières décennies, plus de 125 000 gardiens de la paix canadiens ont participé à des dizaines d’efforts internationaux dans des pays aux quatre coins du monde. La Journée nationale des Gardiens de la paix a lieu le 9 août, car en cette journée en 1974, le Canada a subi ses pertes les plus lourdes en un seul incident durant une mission de maintien de la paix. Les neuf gardiens de la paix canadiens qui se trouvaient à bord d’un aéronef de transport canadien aux couleurs des Nations Unies sont morts lorsque leur avion a été abattu par des missiles syriens lors d’une mission ordinaire de ravitaillement au Moyen-Orient. Cette journée tragique représente la perte la plus élevée de membres des Forces armées canadiennes dans une même journée lors d’une opération de soutien de la paix.
Le Canada a fourni un soutien important dans le rétablissement de la paix et de la sécurité dans des régions dévastées par le conflit. Les gardiens de la paix canadiens, tout en faisant preuve de compassion et de courage, jouent un rôle vital et important dans la réalisation de ces objectifs. En cette journée spéciale, nous pouvons célébrer et témoigner notre gratitude à l’égard de ces hommes et de ces femmes.
Des vétérans et des membres des Forces armées canadiennes ayant servi lors de diverses opérations de soutien de la paix se réuniront dans le cadre d’activités organisées partout au pays pour rendre hommage à leurs camarades. Une cérémonie nationale a lieu à Ottawa au Monument au maintien de la paix le dimanche le plus près du 9 août. La cérémonie est organisée par la succursale locale de l’Association canadienne des vétérans des forces de la paix pour les Nations Unies, les Forces armées canadiennes, Anciens Combattants Canada et la Gendarmerie royale du Canada.

Culture à l’Exposition agricole de St-Hyacinthe

Culture à l’Exposition agricole de St-Hyacinthe
178e année d’exposition. Imaginez combien de gens ont pu en découvrir sur la base de ce qui est sur notre table… La nourriture, toutes les sortes de nourritures. Tout passe par l’agriculture. À l’Expo de St-Hyacinthe, si on regarde avec des yeux de découvreurs on peut retourner à la maison avec un tout nouveau bagage de connaissance. En plus, en famille, c’est tout votre petit monde qui peut en profiter. Les enfants y sont rois. Tout est à leur portée. L’espace familial, ¨La zone famille¨ les attend et il faut voir l’ébahissement dans leurs yeux. Dans cet endroit, les 25 manèges sont pour eux et sous supervision constante. Exemple, si trop petit en grandeur, on ne peut accéder à tel ou tel manège. Si trop grand, pas possible non plus. Pour les adultes, toutes les découvertes sont sous vos yeux. Des spectacles sont présentés à chaque jour pour eux…Caillou, Églantine et le capitaine Pompidou, Moppi, Lilou le monde…et j’en passe. Pour ce qui a trait aux adultes, des sports extrêmes, un super Derby de démolition, un Grand national de tire de tracteurs, des ateliers culinaires et on peut en profiter pour poser des questions. L’Expo-Bar est l’endroit idéal pour assister aux spectacles de Chansons et de Blues. Comme vous le savez, pour nourrir la population du Québec il faut de grandes étendues cultivables et de la grosse machinerie lourde. Tout y est. On peut admirer ces mastodontes et s’imaginer les voir travailler au champ. Le progrès se sent. Les plus vieux peuvent se remémorer les instruments aratoires d’une période lointaine de leur vie et comparer avec ceux d’aujourd’hui. Tout ça en entrant par la porte Blanchet. Tout un départ. Il y plusieurs portes semblables pour accéder à L’Expo. Tout en se promenant ont y découvre les plaisirs gourmands car des stands de nourriture sont un peu partout sur le site et nous pouvons découvrir des boutiques nous renseignant sur le terroir et l’artisanat, sur les chiens Mira, Tire de chevaux et une parade des champions. Vous aurez aussi l’occasion de voir des juges à l’œuvre afin de déterminer les plus beaux chevaux, les plus belles vaches les plus belles poules etc. Vous constaterez le travail réaliser par ces agriculteurs afin d’avoir les meilleurs reproducteurs sur les fermes du Québec. Voyez les bufflonnes. Une ferme seulement ici au Québec compte 450- têtes. Elles produisent un lait très savoureux très riche en gras et en protéines. Ce lait sert à produire le fameux fromage mozzarella. On parle du bœuf Angus? On dit que c’est une des meilleures viandes? Vous les verrez ici comme les races Simmental, les Jersey etc. Des chevaux grands, petits et miniatures. Leurs noms ainsi que leurs progénitures, leur poids etc.… Vous pourrez aussi constater comment un veau peut prendre du poids en si peu de temps. Vous découvrirez toutes ces nouvelles connaissances en suivant les informations données à l’entrée sur le plan du site de l’Expo. De grands pavillons vous attendent. Il suffit d’entrer dans ces endroits et de laisser libre cour à vos découvertes. Répondez aussi aux questions des enfants qui en ont certainement beaucoup. Faites leur connaître la naissance de poussins sous leurs yeux, le plumage des poules, des pigeons, des coqs, les sortes de lapins et entrez avec eux dans la petite ferme qui est à leur disposition. Soyez assuré que lorsque viendra le temps du dodo, tous et toutes auront de beaux souvenirs en tête avant de vous endormir. Je l’ai expérimenté…
Jean Claude Duclos
Journaliste citoyen au http://www.journalinternet.com et http://www.ville-emard.com
animateur à la radio CKVL 100,1FM au ‘’Carrefour des aînés’’ ainsi qu’à l’émission ‘’Au bel âge’’ à radio centre-ville 102,3FM

IMG_4647 IMG_4649 IMG_4651 IMG_4653 IMG_4655 IMG_4656 IMG_4660 IMG_4661 IMG_4662 IMG_4665 IMG_4670 IMG_4672 IMG_4675 IMG_4678 IMG_4685 IMG_4688 IMG_4690 IMG_4694 IMG_4695 IMG_4698 IMG_4699 IMG_4700 IMG_4705 IMG_4707 IMG_4709 IMG_4711 IMG_4713 IMG_4716 IMG_4719 IMG_4721 IMG_4729 IMG_4731 IMG_4734 IMG_4738 IMG_4744 IMG_4749 IMG_4755 IMG_4761 IMG_4771 IMG_4776 IMG_4780 IMG_4783 IMG_4786 IMG_4790 IMG_4792

Invitation à participer au comité d’éducation aux Droits des Services juridiques

Invitation à participer au comité d’éducation aux droits des Services juridiques

L’accès à la justice vous tient à cœur? Vous voulez vous impliquer dans notre organisme? Vous avez des idées d’activités à organiser sur vos droits? Joignez-vous au comité d’éducation aux droits!
Réunion du comité  Mercredi le 14 janvier 2015 à 17h00 lieu : 2533 rue Centre (Services juridiques) Pour plus d’information, contactez Pascale Brunet, organisatrice communautaire servjur@bellnet.ca // 514-933-8432

Invitation to be part of the Right’s Education Committee  of the Community Legal Services

Access to Justice is important for you? You want to get involved with our organisation? You have ideas for activities and workshops on rights? Join our Right’s Education Committee!
Meeting of the committee Wednesday, January 14th 2015 at 3:00 PM Where : 2533 Centre St. (Community Legal Services)
For more information, contact Pascale Brunet, community organizer servjur@bellnet.ca // 514-933-8432

Pascale Brunet Organisatrice communautaire

 

Services juridiques communautaires de Pointe Saint-Charles et Petite-Bourgogne 2533 rue Centre, bureau 101 Montréal, Qc H3K 1J9

 

tél: (514) 933-8432 télécopieur: (514) 933-4381